En psychiatrie, l’identification de marqueurs prédictifs est un enjeu de recherche majeur. Une équipe de l’Université de Genève (UNIGE) vient de faire une découverte dans ce domaine. En étudiant une cohorte de 300 Genevois présentant une anomalie favorisant les troubles psychotiques, les scientifiques ont observé que ces personnes présentaient une interconnexion trop forte ou trop faible entre certaines zones du cerveau.
« Nos processus cognitifs sont le résultat d’interactions – de couplages – entre nos différentes régions cérébrales », explique Silas Forrer, premier auteur de l’étude. Cette « synchronisation » cérébrale, et notamment son optimisation, se développe durant l’adolescence et jusqu’à l’âge adulte.
Les patients porteurs de la microdélétion du gène 22q11.2DS – une anomalie qui touche un individu sur 2000 – « présentaient un retard de développement persistant depuis l’enfance, avec des régions d’hyper- et d’hypo-couplage dans tout le cerveau », explique la doctorante de l’UNIGE. Cette découverte constitue une avancée significative dans la prédiction des psychoses.
Dans un État où seulement 12 000 voix séparaient les deux candidats en 2020, les républicains à l'origine de la…
JOEL SAGET / AFP Après des mois de crise, Sciences Po Paris a choisi le diplomate Luis Vassy comme nouveau…
Olivier Dall'Oglio a exprimé son " honte " et un sentiment de " colère "après le naufrage de son équipe…
A la tête des Armées depuis mai 2022, Sébastien Lecornu, proche d'Emmanuel Macron, souhaiterait conserver son poste dans le nouveau…
Je suis peut-être obsédé par ce sujet, mais je trouve toujours un plaisir à inventer des surnoms pour les différents…
Dominé en première période, Brive a finalement remporté le derby face à Aurillac (48-17), lors de la 4e journée de…