Un banc de piranhas, la septième œuvre animalière de Banksy à Londres en sept jours
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Un banc de piranhas, la septième œuvre animalière de Banksy à Londres en sept jours

Comme à son habitude, le street artiste originaire de Bristol a posté sur son compte Instagram une photo de sa nouvelle création : un banc de poissons installé sur une cabine de police.

France Télévisions – Culture Edito

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Une nouvelle œuvre de Banksy sur une cabine téléphonique à Londres, le 11 août 2024 (VUK VALCIC/ZUMA PRESS WIRE/SHUTT / SIPA)

Bien que ce thème animal ait donné lieu à de nombreuses spéculations quant à sa signification, Le street artiste n’a donné aucune explication lorsqu’il a revendiqué, comme à son habitude, ses œuvres sur son compte Instagram, avec une fréquence surprenante alors que ses publications sont le plus souvent espacées de plusieurs mois.

Cette fois, ce 11 août, c’est un Un banc de poissons ressemblant à des piranhas dans un aquarium sur une cabine de police en verre dans le centre de Londres. L’artiste a revendiqué l’œuvre comme étant la sienne en la présentant sur son compte Instagram dans un post publié à 13h. Les poissons représentés, cependant, sont différents dans leur style des six précédents dessins de silhouettes que Banksy a revendiqués comme étant son œuvre au cours de la semaine dernière.

Deux policiers de la City de Londres ont été vus en train de prendre des photos de la nouvelle œuvre d’art. L’un d’eux a déclaré à l’agence de presse PA Media qu’il avait été chargé d’inspecter l’œuvre après qu’elle ait été repérée par des caméras de vidéosurveillance et qu’ils attendaient de savoir ce qui serait fait à ce sujet. Les œuvres de Banksy, qui valent des millions d’euros aux enchères, suscitent en effet la convoitise.

Lundi 5 août, une chèvre perchée sur un tuyau est apparue sur un mur de Richmond, dans l’ouest de Londres, sous l’oeil d’une caméra de surveillance. Mardi 6 août, ce sont deux éléphants qui ont sorti leur tête de deux fenêtres condamnées d’une façade du quartier huppé de Chelsea. Mercredi 7 août, trois singes se balançaient, suspendus à un pont ferroviaire de Shoreditch, dans l’est de la capitale. Jeudi 8 août à Londres, un loup peint sur une parabole fixée sur un toit et qui semble hurler à la lune a été volé à peine une heure après avoir été réclamé par le mystérieux graffeur. Le lendemain, ce sont deux pélicans qui engloutissent du poisson au-dessus de la devanture d’un fish bar à Walthamstow, puis un chat qui s’étire à Cricklewood.

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