Les effets secondaires des médicaments, que rencontrent certains patients lorsqu’ils commencent un nouveau traitement, sont pour la plupart connus et mentionnés dans leur notice d’utilisation. Mais certains médicaments peuvent avoir des effets moins connus qui apparaissent sur le long terme. Comme le développement d’une forme de démence, par exemple. On sait désormais que certains facteurs environnementaux augmentent le risque de souffrir de troubles neurologiques, comme la maladie d’Alzheimer. Le manque de sommeil, la sédentarité ou encore le manque de soins dentaires font partie des facteurs de risque répertoriés par les scientifiques. Mais le Dr Zain Hasan, anesthésiste de Los Angeles, ajoute un élément à cette liste déjà longue : l’utilisation à long terme de certains médicaments.
Un antihistaminique que notre cerveau n’aime pas
Dans une vidéo TikTok, le médecin (@doctarz) explique notamment que la diphenhydramine, un antihistaminique prescrit contre les démangeaisons ou le mal des transports (vous le connaissez probablement sous son nom commercial Nautamine) pris à dose régulière augmenterait le risque de démence. Deuxième drogue que notre cerveau n’aime pas, mais que l’on prend quand même moins souvent : la morphine. « Si vous prenez régulièrement des opiacés comme la morphine, ils affectent votre cerveau, ils provoquent une sédation et tout ce qui provoque une sédation pendant une longue période peut probablement…
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