Les fouilles archéologiques préventives bloquent la réalisation des zones d’activité, selon l’élu de Dordogne. « Nous nous attendions beaucoup plus » des aides d’État, elle reproche.
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/2025/02/12/la-maire-du-lardin-saint-lazare-francine-bourra-67ac9638cff12599350440.jpg)
Francine Bourra, maire (LR) de Lardin-Saint-Lazare dont le département, le Dordogne, est touché par les plans sociaux, en particulier dans les paperons de Condat, survient le mercredi 12 février sur « ici Périgord » « Un véritable engagement de l’État » Afin de créer de nouvelles entreprises.
C’est dans son secteur, le Périgord Noir, que les papeteries de Condat et un an et demi après le plan social, le représentant élu « Un peu » L’impression d’avoir combattu pour rien. « Nous avions beaucoup d’attentes, nous nous sommes battus pour garder la dernière ligne de papier couché, pour éviter la désindustrialisation de notre pays. Nous n’avons pas envie d’avoir été beaucoup aidé »regrette l’élu.
Certes, l’aide a été fournie dans le cadre du rebond industriel: « 2 millions par l’État, 1 million par la région et 1,5 million dans le cadre du plan de revitalisation » Pour le développement d’entreprises sur le territoire du Périgord Noir, « Mais nous attendions beaucoup plus que ça », décrit le maire. Elle aurait aimé « Qu’il y a un véritable engagement de l’État et une véritable aide à la création de nouvelles entreprises ».
Selon elle, le principal obstacle à la revitalisation du secteur est les fouilles archéologiques préventives. « D’une part, l’État nous aide jusqu’à 5 millions d’euros et d’autre part, nous ne pouvons pas revitaliser aujourd’hui notre territoire en partie en raison de ces fouilles archéologiques préventives qui bloquent la réalisation de nos zones d’activité ».
Il n’y a qu’une seule ligne de papier allongée à Condat. Elle a dû opérer le temps complet, mais elle a déjà été arrêtée en octobre dernier, faute de commandes, se souvient « ici Périgord ». L’entreprise a repris son activité, mais Francine Bourra reconnaît qu’aujourd’hui « Il ne fait pas demi-tour, à 1 400 euros par tonne. Il serait nécessaire de vendre à plus de 1 800 euros pour atteindre le solde, explique l’élu. À un moment donné, il y aura sûrement un problème financier « .
Elle dit qu’elle « Travaille avec le président de la communauté des communes sur le post Condat. L’objectif est de conserver les 200 emplois. Nous essayons de trouver des solutions et des investisseurs qui sont prêts à venir sur notre territoire « , Comme le relais mondon récemment. « Nous aurions d’autres emplacements, mais nous sommes bloqués sur nos zones d’activité par des fouilles préventives archéologiques »elle insiste.
L’ancien ministre Roland Lescure avait promis de revenir, « Nous ne l’avons pas vu ». Francine Bourra « Enregistrer un appel » au nouveau ministre de l’industrie. « Je demande à M. Ferracci de venir à Condat, parce que M. Lescure s’y soit engagé. » Elle lui demande de supprimer les fouilles des fouilles. « Nous devons nous aider, avec nous, c’est un vrai problème, il y a un véritable blocage. »