Lorsqu’il a quitté la prison, le préfet de Savoy a déclaré une obligation de quitter le territoire français (OQTF) et l’Algérien a été placé le 19 novembre dans le centre de détention de Lyon, en attendant son expulsion.
Alger a refusé d’admettre sur son sol l’un de ses ressortissants, que la France voulait expulser dans l’application d’une décision de justice, bien qu’elle soit équipée d’une carte d’identité valide, nous avons appris lundi des sources judiciaires. Cet homme de 30 ans avait été condamné en mai par le tribunal Thonon-les-Bains (Haute-Savoie) à six mois de prison et une interdiction de territoire pour plusieurs faits, notamment le vol, la dissimulation et le port d’une arme de coups de poing, selon aux documents consultés par l’AFP.
Lorsqu’il a quitté la prison, le préfet de Savoy a déclaré une obligation de quitter le territoire français (OQTF) et il a été placé le 19 novembre dans un centre de détention à Lyon, en attendant son expulsion. Avec l’approche de la période de détention maximale, il a été embarqué, escorté par des policiers, à bord d’un vol pour l’Algérie, qui a atterri à Oran dans la nuit du 10 au 11 février.
« Indignation et violence »
Bien qu’il ait une carte d’identité dans le processus de valide, les autorités algériennes ont refusé de l’admettre au motif qu’il n’avait pas de passe consulaire, et il a été immédiatement envoyé en France, selon ces documents judiciaires. Accusé d’avoir rebellé lors de la tentative d’expulsion et d’avoir mordu l’un des agents, il a été jugé lundi en apparence immédiate pour « Indignation et violence ».
Pour ces faits, il a été condamné par le tribunal pénal de Lyon à 6 mois d’emprisonnement et trois du territoire national, conformément aux réquisitions. « Pour la police, les renouvelleurs en Algérie, cela devient une mission impossible »Regree Laurent Bohé, avocat des policiers du Lyonnais qui étaient civils dans cette affaire. « Jusqu’à présent, il suffit d’un document d’identité dans le processus de validation de renouveler les ressortissants algériens, ou une marionnette consulaire (…) maintenant, comment faire? » Il se demande, déplaçant que ces opérations sont devenues « Randatoire ».
Pour sa part, l’avocat de la défense Wilfried Grepinet a qualifié la situation comme« Ubuesque ». «L’Algérie a embauché son retour lorsque ses papiers étaient en règle. Résultat: Après sa phrase, il retournera dans un centre de détention dans des conditions déplorables »Il a réagi. Dans une note à ses services, consultée lundi par l’AFP, le ministre de l’Intérieur a également pris note d’un « Exigence supplémentaire et nouvelle » de la société nationale Air Algeria qui « Dérogation des accords » Entre les deux pays. Maintenant l’entreprise « Exige un laissez-passer consulaire même lorsque les individus prévus au début sont des détenteurs de documents d’identité valides »souligne le cabinet du ministre, qui demande à ses agents, s’ils se retrouvent dans ce scénario, pour exiger des certificats « Par écrit ».
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