« Des sites d’infrastructures adjacents au poste frontière de Masnaa entre la Syrie et le Liban ont été touchés hier soir »L’armée israélienne l’a confirmé vendredi midi dans un communiqué. Un raid qui a conduit à la coupure de la route internationale entre les deux pays, empruntée ces derniers jours par des centaines de milliers de réfugiés pour échapper aux bombardements israéliens.
Israël justifie cette frappe par la présence, selon lui, d’un « Tunnel souterrain qui traverse le territoire libanais jusqu’au territoire syrien, d’une longueur d’environ 3,5 kilomètres, utilisé par le Hezbollah pour transférer et stocker des armes »précise-t-elle sur son compte X. Hier, le ministre libanais des Transports, Ali Hamié, a assuré que «Tous les passages frontaliers, y compris Masnaa, sont surveillés par les institutions publiques, notamment le ministère des Transports, les autorités douanières, la Direction générale de la sécurité et l’armée libanaise».
