C’est notamment son évasion sur le plateau de Beille, dans les Pyrénées, qui a fait couler beaucoup d’encre : sa performance est si impressionnante qu’elle suscite la suspicion chez les commentateurs, dans un sport désenchanté où la pratique du dopage a maintes fois contrarié la fièvre des records. De tels exploits sont-ils physiologiquement possibles ? Que sait-on aujourd’hui des nouvelles pratiques de dopage, et dans quelle mesure peuvent-elles échapper aux contrôles ?