Antoine Griezmann sera-t-il titulaire en huitièmes de finale en équipe de France le 1er juillet à Düsseldorf ? Poser cette question aurait fait rire tout le monde il y a deux ou trois jours, tant le statut du vice-capitaine des Bleus semblait inébranlable. Le demander à Didier Deschamps mardi, après le nul concédé face à la Pologne (1-1), ne lui a pas fait sourire le moins du monde. « Les huitièmes, on a le temps »rétorqua le coach, renvoyant le débat naissant à un horizon le plus lointain possible, mais conscient qu’il reviendrait assez vite sur la table.