L’USAP s’est imposé face à Lyon ce samedi après-midi (29-26). Les premières réactions, chaudes.
Gérald Bastide, entraîneur de la défense de l’USAP
« Ce qu’il faut retenir, c’est la mentalité des joueurs qui ont su rester dans le match. Les vingt dernières minutes ont été dures. Mais ce qui m’a plu, c’est cette capacité de réaction dans les instants. C’est deux fois qu’on a gagné les matches au Cela reste fort pour les joueurs. Nous aurions pu nous effondrer mais nous sommes restés concentrés pour gagner ce match.
Alan Brazo, troisième ligne de l’USAP
« On a eu deux matches ici où ça s’est joué dans les dernières minutes. Il y a des domaines où on peut être plus performant. Mais on montre qu’on y croit jusqu’au bout, avec solidarité. C’est une belle image. C’est C’est l’image que nous voulons donner. Nous aurions pu terminer le match plus tôt. Nous étions conscients que le match de Bordeaux ne nous représentait pas. Il faut être un peu plus tueur, même si nous avons eu un match décisif. celui que nous avons perdu.
Fabien Gengenbacher, entraîneur de Lyon
« Il y a de la colère et de la frustration, mais aussi un sentiment de fierté. On a quand même progressé par rapport à il y a six mois où on en prenait 50. Il y a des détails à régler, notamment cette discipline. L’arbitrage est différent, les contextes aussi. On savait qu’on avait les qualités pour les contrarier, et ça a été le cas.
Mickaël Guillard, deuxième ligne de Lyon
« Il y a de la frustration. On se dit qu’on est dans le match jusqu’au bout. Quand on regarde les efforts qu’on a fait, c’est la frustration qui ressort en premier. Mais on a quand même bien changé par rapport à la saison dernière. On peut souligner le caractère de l’équipe. Même lorsque nous partons, nous restons une équipe solide.
Alexandre Tchaptchet, arrière lyonnais
« Nous les avons tenus. Jusqu’à la dernière action, nous aurions pu viser la victoire. Nous avons su rester unis, défendre notre ligne. Cette fois, cela n’a pas fonctionné. Mais il faut vraiment garder cet état d’esprit. » L’esprit que nous avions à 13 ans. Nous avons mis beaucoup d’énergie et du coup nous faisons beaucoup d’erreurs, mais il vaut mieux avoir trop d’énergie que pas assez. «