Les Racingmen et Bayonnais ne savaient pas comment décider et laisser dos à dos (24-24). Longue dominante, Racing 92 a été trop maladroite. Pour leur part, les Basques ramènent deux points précieux.
Une équipe avait tout à gagner dans le Haut-de-Seine cet après-midi et l’autre était obligé de gagner à la maison, sinon vous irez qualification dans la phase finale impossible ou presque. Le désir n’a pas échoué, de chaque côté, et nous ne pourrons pas dire que la course 92 de Patrice Collazo n’a pas mis les ingrédients à gagner, mais il a fait trop d’erreurs pour blesser un prétendant solide aux demi-finales. Il est même en aviron, malheureux à l’extérieur pendant 5 matchs, ce qui a eu la vraie occasion de prendre 4 points décisifs. Les Racingmen et Bayonnais sont partis après ce match nul non illogique mais sûrement frustrant pour tout le monde.
Bien déterminé à jouer leur match de barrage à Jean-Dauger, les Bayonnais sont allés pour obtenir le tirage important sur la pelouse de la course. Les résidents d’Ile -de -france, ils n’ont pas l’occasion de se repositionner dans la course dans le top 6 \ u26d4
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– Rugbyrama (@rugbyramafr) 10 mai 2025
Le début du match était clairement en faveur du ciel et du blanc de la course qui occupait la moitié de la moitié basque. Après une touche en contact des Bayonnais, nous avons d’abord fixé le côté gauche avec les attaquants, nous avons décidé de nous rendre à l’étranger avec le long sauté de Gibert pour Wame Naivi qui allait plonger seul dans le but (11e, 5-0). Les Racingmen ont continué à confisquer le cuir mais commettant la tromperie ne permettant pas d’élargir l’écart. Nolann Le Garrec a terminé avec une pénalité réussie ce nouveau moment de domination (18e, 8-0). Solide en défense et, finalement pas des archi-dominés, les Basques ont démontré tout leur plan de jeu en île-de-France. Saisir toutes les opportunités. Sur une balle arrachée à la médiane, la contre-attaque était impitoyable de la vitesse et de la puissance. Mori allait plonger au début mais a été abordé par Tuisova avant même de capturer l’assistance. Test de pénalité (19e, 8-7).
Il y a eu une période de flottement avec des équipes évoluant à 14 ans après les jaunes de Tuisova pour sa faute sur le test de pénalité et celle de Capilla du côté d’aviron en raison de l’accumulation. De nombreuses erreurs, des défauts de la main et des défenses qui ont franchi le pas. La mi-temps a été atteint sur ce score étroit et avare.
Un deuxième acte fou et incertain
Les deux cours de formation des vestiaires voulaient mieux offrir au public et un problème moins soluble à l’adversaire. Nolann Le Garrec a profité de la première occasion de marquer 3 points (45e, 11-7) afin de rivaliser avec le réalisme basque. Malheureusement pour les résidents d’Ile -de -france, la Bayonnais, se connaissant efficace, avait prévu d’occuper plus de moitié opposée. Grâce à un penaltourouche bien négocié et à une touche à 5 m, le rameau était une mouche d’entrée de deuxième période avec le test d’Esteban Capilla après plusieurs pick-and-go (49e, 11-14). Les débats ont été plus équilibrés et les courses ont récupéré à l’adresse de son capitaine Le Garrec pour revenir (60e, 14-14), mais il n’a été que de courte durée avec la goutte chanceuse mais malveillante de Joris Segonds deux minutes plus tard, avec l’aide du bar (62e, 14-17). Ces mêmes segonds manquaient de pause quelques instants plus tard sur une pénalité dans ses cordes de 40 m.
Les 10 dernières minutes allaient être folles. Cela a commencé avec le test de Racing a signé Josua Tuisova sur une touche de haut-séquanais à 40 m. Le bas de la ligne de touche a été volontairement manqué pour trouver le centre lancé comme un boulet de canon. Il a frappé trois ou quatre défenseurs sans trembler pour s’aplatir et mettre le sien devant (70e, 21-17). L’aviron n’a pas laissé compter et a continué à occuper la moitié des locaux. Sur une touche à 5 m à droite sur le côté droit, le ballon porté a fixé la défense de l’Ile de-France pour mieux se propager loin vers la droite et Xan Mousques qui n’avait que sprinter dans le but (76e, 21-24). Le reste ne serait qu’une histoire de pénalités. Celui qui a tenté et réussi par le GARREC dans le 79e, plutôt que de chercher la victoire (24-24) puis celle de Joris Segonds, manqué, 40 m encore, dans les arrêts, comme une balle de match gâtée.
Si tout le monde a quitté Nanterre frustré ce samedi en mai, la frustration de la course a été beaucoup plus forte. La phase finale sera expérimentée par les basques de l’aviron, probablement pas par les Racingmen.