Nouvelles sportives

Top 14 – « Il ne faut pas laisser de côté le gain du maintien » : après la défaite bonifiée de l’USAP à Bayonne (23-20), retrouvez les réactions d’après-match

L’USAP enchaîne une deuxième défaite consécutive à Jean-Dauger, ce samedi, face à l’Aviron Bayonnais (23-20) mais repart avec un point de bonus. Les premières réactions, chaudes.

Franck Azéma, responsable USAP

« Il y a de la déception car nous avons quatre ou cinq occasions franches. J’ai vu un visage différent de celui que j’ai vu la semaine dernière, c’est bien. Mais nous avons pris un point ce soir et c’est bien aussi. On peut espérer que Bordeaux soit au même point. comme avant ce match. Donc ça nous dira d’abord où on en est par rapport au match de Clermont. Il faut être vigilant et retrouver notre efficacité, c’est une bonne chose à faire. On connaît le parcours de l’USAP et c’est important. de l’ignorer car les joueurs s’en sortent sans problème ! Nous sommes 9 !e, il reste deux jours, tout est encore possible. Dès le premier jour, tout le monde disait qu’on allait descendre. Si aujourd’hui nous sommes encore en vie, c’est parce que nous sommes désormais capables de marquer un point ce soir. Serons-nous au même point l’année prochaine ? Nous ne savons pas. Il faut saisir les opportunités. Ce soir, nous ne l’avons pas fait. Mais on ne va pas lâcher, c’est un niveau élevé. Je veux en profiter et le redonner aux supporters lors du dernier match à domicile. Quand on voit l’arrivée au stade cet après-midi… C’était dur de se contenir. »

Lucas Bachelier, troisième ligne de l’USAP

« Il ne nous manque pas grand-chose au score. Mais il en manque beaucoup dans le match. Nous donnons des essais trop facilement. Au retour de la seconde mi-temps, en moins de deux minutes, nous leur donnons un essai. Ensuite, nous avons aussi eu Beaucoup d’occasions, on ne les a pas réussi. Il y a eu beaucoup de bagarres, mais comme toujours en Top 14, on s’est bien amusé. A deux journées de la fin, on a atteint l’objectif principal : le maintien. Mais il y a peut-être. Quelque chose de plus beau à chercher. Cela n’arrivera peut-être pas tous les ans. On va abandonner et voir ce qu’on peut réaliser contre Bordeaux et à Pau. Il ne faut pas se contenter de ce maintien. Cela fait un moment que je n’ai pas joué. C’est la force du groupe de s’entraîner pour être au niveau quand on est appelé et ça fait plaisir d’être là.

Camille Lopez, demi d’ouverture de Bayonne

« Nous sommes heureux de finaliser notre maintien ce soir. Cela nous enlève un poids. Nous n’avons pas fait le meilleur match, mais il y a quatre points et le maintien est l’essentiel. Nous étions au courant du résultat à Montpellier, donc Il fallait gagner. Nous savions que Perpignan faisait une bonne saison avec un effectif très fort. Nous savions à quoi nous attendre, mais nous étions moyens dans le jeu offensif, et qui aime avoir le ballon, je suis le plus heureux pour Reec ( Hodge, NDLR). Il a eu du mal cette saison, il a été fort mentalement on l’attend. Aujourd’hui, il est épargné par les blessures et il fait un beau match au pied, comme le week-end dernier, mais aussi dans l’animation offensive. C’est bien qu’il soit récompensé de ses deux essais. Nous n’avons pas fait grand-chose dans le jeu offensif, mais le peu que nous avons fait y est pour quelque chose. Il n’a pas 70 sélections pour l’Australie pour rien.

Facundo Bosch, pute de Bayonne

« Nous sommes heureux d’avoir maintenu le club en équipe. C’est bien pour la suite, après la semaine de vacances. Perpignan joue du très bon rugby. Ils l’ont montré et c’était très dur. Nous avons été pris dans les mêlées mais nous avons joué notre cartes, on a gagné. Mais chapeau à eux car on savait que l’USAP était fort devant et on a bien poussé l’alignement pour les empêcher de prendre de la vitesse. Mais il faut trouver notre jeu offensif pour la fin de saison, ça. Il était temps de s’accrocher. Je ne sais pas ce qu’on s’est dit quand l’USAP est revenu, il fallait se pousser, si un gars travaillait, il fallait le pousser, mais tout le monde faisait le travail.

Grégory Patat, manager de Bayonne

« Le maintien valide le travail d’une saison. Le travail est fait. Il fallait maintenir ce club en Top 14 et c’est fait. On reparlera de la manière plus tard. Encore une fois, on gagne sans être parfait. Au Racing, le dernier La semaine dernière, nous avons été catastrophiques en défense ce soir, mais dans notre conservation, nous avons perdu beaucoup de ballons. Cependant, nous voulions que cette équipe catalane défende. Nous n’avons pas baissé la garde, c’est bien, mais nous. Nous nous souviendrons de la victoire. Si nous voulons grandir, nous devons aller en Champions Cup. Mais ce serait présomptueux de dire cela au vu des équipes qui nous attendent.

Jeoffro René

I photograph general events and conferences and publish and report on these events at the European level.
Bouton retour en haut de la page