Alors qu’on aborde la dernière ligne droite du Top 14, l’entraîneur clermontois se désespère un peu de sortir quelques étiquettes négatives à l’égard de son équipe. Le match à Perpignan est l’occasion de se débarrasser de ces pansements.
De quoi peut rêver Christophe Urios, concernant son équipe, un peu plus de quinze mois, et 42 matches joués, après son arrivée au chevet de l’ASM ? Autrement dit, qu’est-ce qui hante ses nuits lorsqu’il prend la route d’Aimé-Giral, pour affronter une équipe de l’USAP, avec une qualité d’effectif sensiblement la même que la sienne, mais avec une vraie dynamique collective ? , celui que Clermont n’a pas encore trouvé ?