Par rapport aux WF-C500 commercialisés il y a trois ans, les WF-C510 se démarquent par une ergonomie améliorée. Le constructeur japonais est allé encore plus loin en signant le plus petit modèle de son histoire. Avec une forme revue et un poids réduit à 4,6 g par écouteur, le WF-C510 peut effectivement être porté sans gêne pendant plusieurs heures.
Peu intrusifs, ils se glissent facilement dans le conduit auditif, tout en offrant un bon maintien. En cela ils se démarquent des WF-1000XM5 qui, au bénéfice des performances sonores, ont du mal à se faire oublier une fois logés dans les oreilles. Nous vous conseillons tout de même d’essayer les différentes tailles d’embouts fournis (S, M et L) pour obtenir la meilleure sensation de confort.
Adaptés à un usage extérieur, les WF-C510 bénéficient de la certification IPX4 qui les protège efficacement de la pluie. Toutefois, aucune résistance à la transpiration n’est évoquée par le fabricant. Nous ne les recommandons donc pas pour la pratique sportive, malgré l’excellent maintien qu’elles apportent.
Si le confort est l’un des principaux atouts de ces écouteurs Sony, leurs coques sont en plastique de mauvaise qualité et présentent quelques marques d’assemblage. Ils démontrent néanmoins une certaine solidité qui leur permettra, nous l’espérons, de perdurer dans le temps.
Logement
Le boîtier de chargement du WF-C510 est plus fin que celui de ses prédécesseurs. On remarque également des faces supérieures et latérales aplaties, ainsi que l’abandon du cache transparent laissant apparaître les écouteurs. Ce nouveau design est assez ordinaire, mais il améliore un peu l’adhérence. Vous pourrez donc glisser ou récupérer l’étui plus facilement dans votre poche.
L’ouverture du couvercle d’une seule main reste cependant difficile en raison de charnières particulièrement rigides. Solides et ne présentant aucun jeu, ils sont néanmoins capables de résister à de nombreuses manipulations. Comme les écouteurs, le boîtier utilise le plastique noir satiné de première qualité de l’ancien modèle. Cette qualité de lumière est notamment prouvée par une résonance assez perceptible lors du tapotement.
