Comment Julie Depardieu vit-elle les accusations de viol et d’agression sexuelle contre son célèbre père ? Son amie fidèle, Arielle Dombasle, raconte tout devant Jordan De Luxe…
Arielle Dombasle est une amie proche de Julie Depardieu. L’actrice et chanteuse a même passé ses vacances avec la fille du célèbre acteur Gérard Depardieu, accusé par plusieurs femmes de viols et d’agressions sexuelles. Mais comment cette dernière vit-elle les allégations concernant son célèbre père ? L’épouse de Bernard-Henri Lévy, invitée de l’émission de Jordan De Luxe sur C8 ce 5 juillet, a fait des confidences exclusives.
Julie Depardieu, face aux accusations contre son père : « Difficile à vivre »
Après avoir expliqué qu’elle s’entendait extrêmement bien avec « l’exquis« Julie Depardieu, notamment sur le plan musical, a révélé Arielle Dombasle dans l’émission Piscine Jordan De Luxe que l’affaire qui a mis en lumière le comportement présumé de son père était «pas facile » vivre pour elle.
« Les réseaux sociaux sont comme une bombe à neutrons, les choses prennent tout de suite des proportions mondiales. Donc pour la famille et pour les enfants, c’est toujours quelque chose de terriblement cruel et difficile à vivre.« , a assuré celui qui est membre des Grosses Têtes depuis de nombreuses années.
Pourquoi Arielle Dombasle a-t-elle signé une tribune en soutien à Depardieu ?
En décembre 2023, Arielle Dombasle avait également signé une chronique publiée dans le Figaro pour soutenir Gérard Depardieu. Un document qui a ensuite été critiqué. Mais pourquoi le chanteur a-t-il décidé de signer cette tribune ?
« Je suis la marraine de Billie, qui est le fils de Julie Depardieu et Philippe Katherine, et ils lui ont jeté des pierres à l’école en lui disant « ton grand-père est un violeur ». J’ai trouvé insultant de réduire quelqu’un à ça. Maintenant, la justice doit faire son travail bien sûr« , a-t-elle expliqué au micro du podcast Femme actuelle.
Et d’ajouter : « ONous savons que c’est un personnage (…) et qu’il y a des aspects assez monstrueux chez lui. Là, on va voir, c’est la justice qui décidera. On est dans un domaine où il y a tellement de gens qui ont le droit de parler et tellement de gens qui jugent, tellement de haters, qui ont cette parole libérée. Il y a cette espèce d’amour de la haine qui est devenu un nouveau plaisir et donc il faut s’en protéger« .