TÉMOIGNAGE. « Je suis médecin et j’ai un cancer du côlon, voici les signes à surveiller »
Elle pensait connaître tous les aspects de son corps et de sa santé. Cependant, en août 2022, elle commencera à ressentir des symptômes légersexpliquer Le miroir. Le gynécologue n’a aucune idée de ce que cachent ces différents malaises.
Quelque temps plus tard, alors que ses symptômes n’avaient pas disparu, Lauren décida de consulter un médecin. Un examen approfondi révélera la présence d’une masse inquiétante. En réfléchissant bien, la gynécologue se rend soudain compte que d’autres symptômes auraient dû l’alerter.
Cancer du côlon : quels sont les signes à connaître ?
Lauren a commencé par ressentir une fatigue importante et des douleurs pelviennes, deux symptômes qui auraient dû l’alerter. Dans son témoignage, elle s’est souvenue cette fatigue inattendue qu’elle ressentait l’après-midià une époque où elle était plutôt habituée à être en forme. Mais à ses yeux, cette fatigue était davantage la conséquence de son travail et du fait qu’elle était mère de deux jeunes enfants. En fin de compte, c’était juste le signe d’un quotidien peut-être trop chargé.
Les douleurs pelviennes l’ont en revanche vite inquiété.
Lauren a expliqué qu’elle ressentait comme un « poids » sur cette partie de son corps.. Et du fait de son métier, c’est ce symptôme qui l’inquiétait le plus. C’est après plusieurs consultations et un examen approfondi que les médecins découvrent une masse inquiétante sur l’un de ses ovaires.
Un diagnostic tardif, mais une bonne nouvelle
La masse va rapidement grossir, passant de 8 à 24 cm en quelques semaines seulement. Face à cette situation, les médecins ont rapidement décidé d’opérer Lauren. Au cours de l’intervention, ils découvriront que le cancer s’est propagé à plusieurs organesaggravant ainsi le diagnostic initial. À partir d’une simple masse inquiétante, Lauren reçoit un diagnostic de cancer du côlon de stade 4, stade où les chances de guérison sont plus faibles.
Cependant, le gynécologue ne va pas céder et commencer une chimiothérapie intensive tout en continuant à travailler. A ce moment-là, elle n’avait qu’un seul objectif : même dans une situation difficile, la vie doit continuer. En avril dernier, après des mois de traitement, les médecins lui ont annoncé une bonne nouvelle : ses derniers tests n’ont révélé aucun plus aucun signe de la maladie.