Depuis la pandémie de Covid-19, le géant français du jeu vidéo permet à ses salariés de choisir plus ou moins leur rythme de télétravail. « C’était un peu à la carte, beaucoup de choses étaient laissées à la discrétion des managers », se souvient Timothée. (tous les prénoms des employés ont été modifiés)salarié d’un des studios de production du groupe, présent en France à Montreuil, Bordeaux, Lyon, Annecy et Montpellier. La charte mise en place, complétée par des annexes locales ayant chacune leur spécificité, pourrait facilement être remise en cause. Le vent se levant, les syndicats qui déplorent le manque de concertation appellent à trois jours de grève à partir de ce mardi. « Les négociations (qui doivent commencer jeudi) ne se fera que sur des détails puisque la décision est prise», déplore Timothée.