Six novillos du fer aragonais de Los Maños, de tailles variées et souvent aux cornes « accueillantes ». Douze piques, noblesse unanime. Un lot festif à célébrer.
Diego Bastos (70% dans la Marne, or et noir) part tout feu tout flamme et « tire » avec l’estocade contre la corne d’ouverture, l’essence même de la bonté. De l’autre, le Sévillan, qui n’en finit plus de hurler derrière chaque passe pourtant bien cambrée, enfonçait l’acier, cette fois recta mais payait le prix de son long puntillero.
Jesus de la Calzada (Barbe à papa et 18 carats) a une belle gestuelle sauf que, jeune, avec l’épée, comme dans la valse, il faut respecter les trois temps.
Vêtu de céleste et d’argent, le Niño Julian de Nîmes, bondit aux banderilles, s’efforce, prend des coups, repart à l’assaut, ne se laisse pas atteindre par la muleta et plonge le yatagan sans sourciller. Un vrai novillero, une aubaine, bravo Julien, mais là encore, les armes sont cassées…
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