Surcapacités productives et montée d’échelle : l’industrie chinoise ébranle les usines européennes et américaines
Il y a les logos qui commencent tout juste à être vus à l’étranger – celui du premier constructeur électrique mondial, BYD –, les marques nées récemment mais déjà reconnues en Chine – Nio, Xpeng, Li – et les noms que le consommateur chinois lui-même se bat à identifier – Neta, Aion, par exemple. La Chine compte une cinquantaine de marques locales d’automobiles électriques.
Pour le pays, ces voitures, qui remplacent rapidement les marques étrangères sur son sol, sont la preuve qu’il a enfin rattrapé son retard technologique vis-à-vis des Etats-Unis, de l’Europe, du Japon et de la Corée. du Sud. En Europe et aux Etats-Unis en revanche, ces constructeurs sont perçus comme un nouveau risque vital pour l’industrie automobile locale.
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