Le principe développé par ses partisans est simple : le salarié travaille un jour de plus, mais sans rémunération complémentaire. L’entreprise améliore ainsi sa productivité et en contrepartie l’employeur paie un impôt de 0,30% de sa masse salariale. A cela, il faut ajouter une augmentation de la contribution de solidarité supplémentaire (actuellement 0,3%) payée par les retraités imposables.