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Sunak s’en prend à Starmer à propos des retraités et d’Israël – POLITICO

Sunak s’en prend à Starmer à propos des retraités et d’Israël – POLITICO


Tout ne va (pas) bien : Le Premier ministre a riposté en évoquant une campagne de communication visant à aider les personnes âgées à obtenir un crédit de retraite. Il a répété la phrase habituelle selon laquelle tout cela est nécessaire en raison de l’héritage économique laissé par les conservateurs de Sunak.

Moments les plus marquants : La Chambre a été transportée à l’époque de la campagne électorale, alors que Sunak a souligné la baisse de l’inflation, la diminution de la dette et l’amélioration de la croissance sous son mandat de Premier ministre. « Le gouvernement n’a pas à choisir de prendre de l’argent aux retraités à faibles revenus pour le donner aux conducteurs de train grassement payés », a-t-il encore une fois déclaré.

Profitez de l’opposition, les gars : Starmer n’a pas voulu entendre parler de cela. Les conservateurs, a-t-il dit, resteront dans l’opposition pendant « très, très longtemps » s’ils prétendent que tout allait bien lorsqu’ils ont quitté le pouvoir.

Plus loin : La ligne de démarcation suivante concernait Israël. La Grande-Bretagne a suspendu certaines licences d’exportation d’armes vers Israël, craignant que ces armes puissent être utilisées à Gaza en violation du droit international. Les conservateurs ont critiqué cette décision, tandis que les députés travaillistes de gauche souhaitent que le gouvernement aille plus loin.

Égalité devant la loi : Pressé par Sunak de savoir comment tout cela contribuerait à obtenir la libération des otages détenus par le Hamas, Starmer a fait appel à son avocat intérieur. Sa déclaration selon laquelle cette décision était une « décision légale et non une décision politique » a été accueillie par des cris d’« absurdité » de la part des députés conservateurs.

Et de l’autre côté de l’Atlantique : Sunak a demandé au Premier ministre si tout cela avait été réglé avec les États-Unis. Le Premier ministre s’est contenté de confirmer que « nous en avons discuté avec nos alliés », et a tenté de renverser la situation face à un parti conservateur qui, selon ses propres termes, ne « pense pas que le droit international compte ». Ce qui a provoqué des huées sur les bancs conservateurs.


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