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ces mineurs dont l’école et la justice ne savent que faire

Le centre éducatif fermé de Bruay-la-Buissière accueille une dizaine de jeunes délinquants venus de toute la région et au-delà.
Ludovic Maillard / PHOTOPQR/VOIX DU NORD/MAXPPP

ENQUÊTE – Internats, centres fermés… Depuis vingt ans, les politiques peinent à trouver des systèmes efficaces pour les prendre en charge.

L’internat ou la solution miracle de tous les gouvernements en quête d’une solution pour les enfants à la dérive. L’actuel Premier ministre n’a pas manqué l’appel. Pour les mineurs «  sur la mauvaise pente »Gabriel Attal propose une solution clé en main : un nouvel internat, qui permettrait «  coupés (ces jeunes) de leurs associations » et les empêcherait de « plonger dans la délinquance « . Le 30 janvier, dans son discours de politique générale, il a évoqué «  50 000 lieux » internats vacants dans l’Éducation nationale. Encore faut-il savoir quel lieu peut bénéficier à quel profil de mineurs tant d’établissements et de politiques se chevauchent.

Il existait déjà les internats dits « tremplins », ces structures conçues depuis la fin des années 1990 pour des élèves « très perturbateurs », où interviennent conjointement des personnels de l’Éducation nationale et de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ). Mais aussi les internats « excellents »…

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Cammile Bussière

One of the most important things for me as a press writer is the technical news that changes our world day by day, so I write in this area of technology across many sites and I am.
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