Les laboratoires vont devoir mettre la main à la poche au profit du trésor public, et pas qu’un peu. Onze groupes pharmaceutiques ont écopé d’une amende de 8 millions d’euros depuis août, a indiqué mardi l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). La raison ? Ils ne disposaient pas de réserves suffisantes de médicaments vitaux, comme l’exige la loi afin de limiter les risques de tensions voire de pénuries.
Depuis septembre 2021, les industriels doivent disposer de deux mois de stock de leurs produits d’intérêt thérapeutique majeur (MITM). Ce délai passe à quatre mois pour les molécules qui ont « été régulièrement en rupture de stock ou risquant de l’être au cours des deux années précédentes », soit 746 médicaments très variés (dont certains bien connus comme l’antibiotique Amoxicilline, l’antiépileptique Topiramat ou l’antituberculeux Rifadin).
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