Condamné pour violence domestique, l’ex-Animateur préféré des Français a écrit à ses franchisés pour leur dire qu’il ferait « tout » pour « les protéger des attaques ».
L’agent immobilier le plus connu en France essaie de sauver des meubles. Condamné du 18 février à douze mois de condamnation à une peine de prison avec sursis pour violence domestique, Stéphane Plaza essaie de rebondir en se recentrant sur sa profession d’origine.
En parallèle avec un message dans ce sens publié sur le réseau Instagram vendredi dernier, l’ancien animateur préféré des Français a également écrit, la semaine dernière, à tous les franchisés de son réseau pour les rassurer, selon les informations obtenues par BFMTV.
« Conscient que la couverture médiatique de cette affaire est également très douloureuse, je ferai tout pour préserver le réseau d’attaques dont je suis la cible », dit « avec toute affection (sonore) » celle dont le nom est utilisé par un réseau de presque 600 franchises à travers le pays. « Je suis innocent et je serai blanchi. »
Dès que sa condamnation pour « violence habituelle » sur un ancien compagnon rendu public, le groupe M6 qui a diffusé ses programmes depuis 2006 Rechercher un appartement ou une maison, une maison à vendre ou Chasseurs d’appartements ‘ avait annoncé la déprogrammation de ses programmes. En parallèle, des votes ont été soulevés parmi son réseau de franchise pour discuter des difficultés commerciales causées par cette affaire.
Changement d’avocat
Dans sa lettre, Stéphane Plaza a donc insisté sur « personnellement » de les informer du reste de la procédure. « J’étais prêt, en accord avec la gestion du réseau, de ne pas faire appel de mon jugement afin de ne pas prolonger cette procédure. Hélas, j’ai été informé que l’accusation et l’un des deux plaignants avaient eux-mêmes fait appel (…) dans ces circonstances, je n’avais d’autre choix que de me défendre à nouveau en attrayant à son tour. »
Pour ce deuxième tour judiciaire, Stéphane Plaza a également décidé de changer les avocats. Selon les informations de BFMTV, c’est maintenant Antonin Gravelin-Rodriguez et Julien Roelens qui sont responsables de sa défense.
« La décision de l’accusation de faire appel du jugement fait partie d’une logique de fermeture étroite, ils indiquent dans un communiqué de presse. L’accusation persiste à vouloir Stéphane Plaza un symbole médiatique de l’efficacité de son action dans la lutte contre la violence contre les femmes.
Le procès d’appel n’est pas encore prévu.