Dans la courte histoire boursière de Stellantis (la société issue de la fusion de Fiat-Chrysler et Peugeot SA n’est cotée comme telle que depuis janvier 2021), cela ne s’est jamais produit : le titre a chuté de 10,1% mardi après la publication du chiffre d’affaires trimestriel. Un contraste impressionnant avec l’engouement (le cours a alors bondi de 5,8%) qui a accompagné, il y a deux mois et demi, l’annonce de très bons résultats annuels et d’un retour actionnarial extrêmement généreux. .
Bien entendu, la situation du constructeur franco-italo-américain n’est pas isolée : le même jour, Mercedes-Benz et Volkswagen, qui ont également dévoilé leurs chiffres du premier trimestre, ont déçu mais leurs actions n’ont perdu que 5 %.