Nommé samedi ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative, Gil Avérous a évoqué lundi avec Amélie Oudéa-Castéra les différents domaines de son action lors de la passation de pouvoir.
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« Faire du sport, de la jeunesse et de la vie associative les piliers de la France de demain, une France plus inclusive, plus solidaire et plus forte. » C’est par ces mots que Gil Avérous, le nouveau ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative, a conclu son discours lors de la passation de pouvoir avec Amélie Oudéa-Castéra et Sarah El Hairy, lundi 23 septembre au siège du ministère à Paris.
Au cours de cette cérémonie, l’ancien ministre a parlé de « ces deux années et demi intenses mais terriblement passionnantes »énumérant au passage les bons et les mauvais souvenirs. Gil Avérous, maire de Châteauroux, a suivi les traces de son prédécesseur : « Vous avez su porter avec détermination les valeurs de ce ministère. Je m’engage à poursuivre cette dynamique avec la même ferveur que vous, avec l’ambition de tenter de vous rassembler. »il a dit.
Évoquant à plusieurs reprises son ambition d’un « sport décentralisé » pour que ce soit « une opportunité accessible à tous sur tout le territoire »il a affirmé que « La haute performance doit être un moteur ». « Nos sportifs ont montré que la France regorge de talents » pendant les Jeux Olympiques et Paralympiques, en précisant que le sport pour handicapés avait « a définitivement conquis le cœur des Français ».
Il a également annoncé qu’il souhaitait mettre « Agissons pour protéger nos sportifs, nos jeunes, nos bénévoles contre toutes formes de violence ». « Chaque club sportif doit être un lieu sûr où le prosélytisme religieux n’a pas sa place »a-t-il ajouté, se référant au principe de laïcité affirmé « partout où cela est nécessaire ». Quant à la santé mentale, déclarée « grande cause nationale en 2025 » par le Premier ministre, Gil Avérous assure que cette « Ce sera l’un de nos projets majeurs » envers les jeunes.