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Soutien à la haute performance, lutte contre la violence… Ce qu’il faut retenir du premier discours du nouveau ministre des Sports Gil Avérous

Nommé samedi ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative, Gil Avérous a évoqué lundi avec Amélie Oudéa-Castéra les différents domaines de son action lors de la passation de pouvoir.

France Télévisions – Éditorial Sport

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Gil Avérous, nouveau ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative, lors de la passation de pouvoir avec Amélie Oudéa-Castéra, au siège du ministère des Sports, à Paris, le 23 septembre 2024. (THOMAS SAMSON / AFP)

« Faire du sport, de la jeunesse et de la vie associative les piliers de la France de demain, une France plus inclusive, plus solidaire et plus forte. » C’est par ces mots que Gil Avérous, le nouveau ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative, a conclu son discours lors de la passation de pouvoir avec Amélie Oudéa-Castéra et Sarah El Hairy, lundi 23 septembre au siège du ministère à Paris.

Au cours de cette cérémonie, l’ancien ministre a parlé de « ces deux années et demi intenses mais terriblement passionnantes »énumérant au passage les bons et les mauvais souvenirs. Gil Avérous, maire de Châteauroux, a suivi les traces de son prédécesseur : « Vous avez su porter avec détermination les valeurs de ce ministère. Je m’engage à poursuivre cette dynamique avec la même ferveur que vous, avec l’ambition de tenter de vous rassembler. »il a dit.

Évoquant à plusieurs reprises son ambition d’un « sport décentralisé » pour que ce soit « une opportunité accessible à tous sur tout le territoire »il a affirmé que « La haute performance doit être un moteur ». « Nos sportifs ont montré que la France regorge de talents » pendant les Jeux Olympiques et Paralympiques, en précisant que le sport pour handicapés avait « a définitivement conquis le cœur des Français ».

Il a également annoncé qu’il souhaitait mettre « Agissons pour protéger nos sportifs, nos jeunes, nos bénévoles contre toutes formes de violence ». « Chaque club sportif doit être un lieu sûr où le prosélytisme religieux n’a pas sa place »a-t-il ajouté, se référant au principe de laïcité affirmé « partout où cela est nécessaire ». Quant à la santé mentale, déclarée « grande cause nationale en 2025 » par le Premier ministre, Gil Avérous assure que cette « Ce sera l’un de nos projets majeurs » envers les jeunes.

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