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Soutenir la recherche pour mieux traiter l’endométriose

Envion une femme sur 10 d’âge menstruel, soit 1,5 à 2,5 millions de personnes, seraient touchées par l’endométriose. C’est l’une des principales causes d’infertilité, enjeu majeur de santé publique.

L’endométriose est une maladie chronique caractérisée par la présence de tissu endométrial en dehors de la cavité utérine. Il réagit en fonction des variations hormonales du cycle menstruel et provoque douleur intense et saignement dans les zones où ils se trouvent. La douleur liée à l’endométriose est souvent débilitante.

Ce programme devrait permettre de soutenir la recherche en biologie fondamentale, clinique, épidémiologie et sciences humaines et sociales ainsi que préparer innovations clés dans ces domaines. Il s’inscrit dans la stratégie nationale de lutte contre l’endométriose et est financé à hauteur de 25 millions d’euros d’ici France 2030.

Regardez l’interview de Marina Kvaskoff, chercheur épidémiologiste à l’Inserm, qui coordonne un programme ciblé sur l’épidémiologie de l’endométriose au sein du PEPR « Santé des femmes, santé des couples » :

Un premier appel à candidatures a été lancé début 2024 via le programme de recherche France 2030 Santé des Femmes pour constituer deux consortiums de recherche multidisciplinaires. Elle s’est terminée le 30 avril 2024.

William Dupuy

Independent political analyst working in this field for 14 years, I analyze political events from a different angle.
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