« Si je n’étais pas connue » : Karine Le Marchand sans détour sur ses envies de libertinage
Résumé
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Karine Le Marchand s’est toujours intéressée de près aux relations humaines, et plus particulièrement à l’amour. Depuis des années, elle aide les agriculteurs à trouver l’âme sœur grâce à l’émission à succès L’amour est dans le pré. Mais le présentateur ne s’arrête pas là.
Elle s’apprête en effet à revenir avec un nouveau projet qui promet deexplorer des dimensions plus intimes de nos vies amoureuses. Le 9 décembre prochain, Karine Le Marchand fera son retour à l’écran avec Les Français, l’amour et le sexe.
Karine Le Marchand profite de l’amour au 21ème siècle
A cette occasion, elle confiait récemment à nos confrères de Télé-Loisirs qu’elle ne croit plus au modèle amoureux traditionnel des générations précédentes.
« Il faut être lucide : Le bonheur hétéronormatif tel qu’on nous l’a vendu, sous forme de contes de fées, n’a jamais fonctionné. Cela a fonctionné tant que les femmes ne pouvaient pas divorcer, ne travaillaient pas et étaient obligées de jouer le rôle de femmes au foyer, mais elles étaient les grandes perdantes.« , a-t-elle expliqué.
Dans son documentaire, Karine Le Marchand entend faire le « critique du patriarcat« . »Les applications de rencontres, le mouvement #Metoo et la notion de consentement, la fin de l’injonction de la religion, la montée de l’individualisme et l’exigence de bonheur que cela induit… Tout cela ne nous fait plus aimer de la même manière.« , estime l’animateur star.
Je me suis posé la question du libertinage
Avec ce projet, son ambition est de s’interroger sur les multiples formes que peuvent prendre les relations amoureuses. Parce qu’ils sont bien plus variés qu’on ne le pense ! Couple, asexualité, polyamour… la série promet d’explorer des réalités souvent méconnues.
« Aujourd’hui, tout se réinvente et évolue tout au long de notre vie. Cela m’a beaucoup surpris ! (…) En rentrant le soir après le tournage, je me suis demandé : ‘Est-ce que je pourrais vivre avec une femme ?’ Est-ce que je suppose ? C’est un documentaire qui s’interroge beaucoup sur soi-même. Je suis beaucoup plus ouvert d’esprit maintenant qu’au début du projet« , raconte la mère d’Alya qui ne sait visiblement plus ce qu’elle aime.
Et de conclure : «Je me suis posé la question du libertinage. Si je n’étais pas célèbre, j’essaierais !« Nul doute que ces confidences provoqueront une réaction…