La magistrate est revenue, en conférence de presse, sur les fragilités psychologiques de la star, ainsi que sur les disputes qui ponctuent sa relation. La procédure judiciaire s’oriente vers un classement sans suite.
C’est avec force détails que le procureur de la République de Mont-de-Marsan, Olivier Janson, est revenu sur les quatre jours d’enquête dans l’affaire Kendji Girac, ce jeudi. De sa fragilité psychologique à son penchant pour l’alcool, en passant par les frictions qui parcourent sa relation avec Soraya Miranda, l’intimité de la star a été scrutée pendant une heure et demie, devant les caméras.
Et c’est ce que reprochent les responsables de Kendji Girac au magistrat, dans la foulée, alors que l’enquête ouverte pour tentative d’homicide volontaire glisse vers un prochain classement sans suite, l’auteur de « Couleur Gitano » ayant avoué avoir simulé un suicide ce soir-là, alors que il s’est tiré une balle dans la poitrine.
« Homme discret »
Les agents ainsi « regretté »que le procureur « il a semblé opportun de divulguer l’intimité de la vie privée et familiale de Kendji Girac, qui est un homme discret et réservé par nature, et ce sans nécessité au vu de l’enquête en cours », dans un communiqué transmis à l’AFP jeudi soir. Soulignant l’absence de « poursuite » concernant le chanteur, ils ont également demandé « aux médias » «pour respecter le temps de convalescence» du chanteur.
De son côté, le chanteur Vianney, ami de la star, a ironisé sur les propos d’un « procureur aux multiples casquettes »En espérant « que la presse people lui enverra des fleurs »il a écrit sur X.