Divertissement

Sept à Huit – « Il crie après les gens qu’il ne paie pas ? », « Il est arrogant », « Assez sale » : les internautes critiquent le comportement du président du Puy du Fou auprès des bénévoles du parc

Une exigence acceptée. Ce dimanche 23 juin, dans son nouveau numéro de « Sept à Huit Life », les équipes d’Harry Roselmack ont ​​plongé leurs téléspectateurs au cœur de la préparation du plus grand spectacle du monde : le Puy du Fou. Dans ce reportage, le magazine nous fait découvrir l’ambiance des coulisses du complexe français situé en Vendée et à travers différents profils. Techniciens, comédiens, serveurs, bénévoles… le parc du Puy du Fou se présente comme une machine extrêmement performante mais aussi comme une véritable aventure humaine. En effet, depuis sa création en 1989, le spectacle a traversé les générations et fait naître des vocations, comme celle de Pierre, 24 ans. Dans ce reportage, il est décrit comme un « pur produit du Puy du Fou » et pour preuve ses parents, employés du parc, s’y sont rencontrés. A l’âge de 3 ans, il débute ses premiers spectacles avant d’entrer à l’académie du Puy du Fou durant son adolescence : « J’ai toujours été bercé par le monde du spectacle. (…) On rêve d’être chevalier quand on est petit. » « . Un rêve devenu réalité puisque l’acteur, dans son ascension, décroche le rôle du roi Arthur !

Dans un deuxième temps, les téléspectateurs découvrent Alexandre, 21 ans, serveur au « Café de la Madelon », l’un des 36 restaurants du parc. Cet ex-étudiant en communication est l’un des trois responsables de salle. Il gère une équipe de 10 serveurs, nourrit l’équivalent de plus de 700 clients mais doit aussi… danser, inspiré du vaudeville en l’occurrence dans le reportage. Après 55 minutes de service intense, la pression est immense. Alexandre et ses équipes doivent débarrasser toutes les tables une demi-heure avant le deuxième spectacle, sous le regard de certains clients partagés entre admiration et scepticisme : « On sait ce qu’est un travail rapide, mais je trouve que c’est un peu exploiteur. » Mais le jeune étudiant balaye tout doute devant les caméras de TF1 : « Je suis venu en famille au Puy du Fou et quand j’ai vu que le serveur se mettait à danser, je me suis dit ‘je veux faire ça’, c’est incroyable comme ça. » un métier' », s’enthousiasme le serveur/danseur/directeur de salle. Un professionnalisme et une haine de l’amateurisme incarné notamment par Nicolas de Villiers, le fils de Philippe de Villiers et actuel président du Parc. Le patron de cette institution qui ne fait pas totalement l’unanimité. chez les internautes…

VIDÉO – Découvrez la minute d’Harry Roselmack

La réussite du Puy du Fou repose en grande partie sur l’engagement de ses bénévoles. Chaque année, plus de 4 400 passionnés de tous âges et de tous horizons viennent prêter main forte aux différents spectacles et animations du parc et faire vivre « La Cinéscénie », le spectacle son et lumière le plus connu du parc qui existe depuis 1978. Parmi les bénévoles, la famille Foucart, véritable « Puyfolais ». Le reportage nous présente les parents, Laura et Bérenger, leurs enfants Louisa, Victoire et Léon, Géraldine la tante, et Liliane la grand-mère « Puyfolaise » de 44 ans. Depuis 1980, la grand-mère de famille joue tous les rôles féminins : « C’est ma passion, c’est le Puy du Fou », avoue l’aînée.

Dans cet effusion, les caméras de Sept à Huit plongent les spectateurs dans une réunion d’avant-spectacle où une partie des bénévoles sont rassemblés autour de Nicolas de Villiers, le président du Puy du Fou. Dans ce court extrait, le patron du complexe a tenu un discours de motivation très « fort » à l’égard de ces bénévoles : « On ne peut pas décevoir, on ne peut pas être approximatif, c’est impossible ! Nous sommes des professionnels et nous nous en foutons d’être bénévoles », ce n’est que parce que nous sommes bénévoles que nous serions des amateurs ! Une façon de voir et d’opérer avec ses bénévoles qu’il justifie par ce témoignage : « Vous savez, on vient librement au Puy du Fou et c’est le pari extraordinaire : c’est le geste gratuit ! Il faut accepter que dans notre société qui voudrait tout monétiser il y a des gestes libres ».

Un comportement et une façon de faire de Nicolas de Villiers avec ses bénévoles qui suscite l’étonnement et qui ne plaît pas aux internautes sur X.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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