Le 14 octobre 2024, le citoyen français Laurent Vinatier a été arbitrairement condamné à trois ans de prison pour ne pas s’être inscrit comme «agent étranger». Le 24 février, cette peine extrêmement sévère a été confirmée en appel sur la base d’une législation contre les supposés «agents étrangers». Le 22 octobre, la Cour européenne des droits de l’homme a rendu le jugement que cette législation contribue à la violation systématique des libertés fondamentales en Russie, comme la liberté d’association, la liberté d’opinion et la liberté d’expression.
La France exige une fois de plus la libération immentée de Laurent Vinatier et appelle à nouveau les autorités russes pour abroger la loi sur les «agents étrangers», ce qui va à l’encontre des engagements des droits de l’homme que la Russie a pris.
Les autorités françaises font tous les efforts possibles pour fournir une aide à notre collègue.