selon un haut responsable de l'administration Biden, l'Etat hébreu n'a pas répondu aux "inquiétudes" des Etats-Unis concernant une éventuelle offensive à Rafah
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selon un haut responsable de l’administration Biden, l’Etat hébreu n’a pas répondu aux « inquiétudes » des Etats-Unis concernant une éventuelle offensive à Rafah

selon un haut responsable de l’administration Biden, l’Etat hébreu n’a pas répondu aux « inquiétudes » des Etats-Unis concernant une éventuelle offensive à Rafah

Israël n’a pas répondu aux « inquiétudes » américaines

Selon les déclarations d’un haut responsable de l’administration Biden qui s’est entretenu sous couvert d’anonymat à des journalistes de plusieurs médias, dont l’Agence France-Presse, Associated Press et Washington Post, Les responsables israéliens et américains ont discuté d’une alternative à l’offensive de Rafah, mais « Ces discussions sont en cours et n’ont pas pleinement répondu à nos préoccupations. »

Ce sont ces inquiétudes qui ont motivé, selon ce responsable américain, la suspension d’une livraison de bombes. « Nous n’avons pas pris de décision définitive sur la manière de procéder à cet envoi »il ajouta.

« Alors que les dirigeants israéliens semblaient se rapprocher d’une décision sur une telle opération, nous avons commencé à examiner attentivement les propositions visant à transférer à Israël des armes spécifiques qui pourraient être utilisées à Rafah. Cela a commencé en avril »a détaillé ce haut responsable.

Il a ajouté que Washington était « particulièrement concentré » sur l’utilisation des bombes les plus lourdes de 2 000 livres « et l’impact qu’ils pourraient avoir dans des environnements urbains denses comme nous l’avons vu dans d’autres parties de Gaza ».

Le Département d’État américain étudie également d’autres transferts d’armes, notamment l’utilisation de bombes de précision connues sous le nom de JDAM (bombes guidées à distance), a ajouté le responsable.

L’armée israélienne a déployé mardi des chars à Rafah (sud), pris le contrôle du passage frontalier avec l’Egypte et fermé les deux principaux points d’accès à l’aide humanitaire (Rafah et Kerem Shalom), une mesure envisagée « inacceptable » par les États-Unis.

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