« Puisque c’est lui qui va remplacer Bruno Le Maire à Bercy, il faudra l’attendre ! », rétorque le député marseillais Sébastien Delogu. La plaisanterie en dit long sur les ambitions intactes de La France Insoumise, qui entend garder la main sur le Nouveau Front populaire (NFP), arrivé deuxième la veille au soir au premier tour des législatives avec 28 % des voix.