Sauvetage de soixante-six migrants qui tentaient de traverser la Manche
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Sauvetage de soixante-six migrants qui tentaient de traverser la Manche

Sauvetage de soixante-six migrants qui tentaient de traverser la Manche

Soixante-six migrants, dont des femmes et des enfants, qui tentaient de traverser la Manche, ont été secourus mercredi 1euh May, et ont été amenés à Dieppe, ont annoncé la préfecture maritime et la préfecture de Seine-Maritime.

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Dans la matinée, le centre opérationnel régional de surveillance et de secours (Cross) Gris-Nez a été «informé par le sémaphore de Dieppe qu’un bateau de migrants se trouvait au large de Dieppe». The Cross a d’abord loué un bateau à la Société Nationale de Sauvetage en Mer (SNSM), opérant sur zone, pour « vérifier la situation du bateau »selon le communiqué de presse.

Le lancement de la SNSM a ensuite été relayé par le lancement de surveillance maritime côtière Yser de la gendarmerie maritime.  » L’Yser est venu en aide au bateau en difficulté dans l’après-midi. L’équipage a récupéré soixante-six naufragés, dont des femmes et des enfants., a précisé la préfecture maritime. Ils étaient alors « déposés au port de Dieppe où ils ont été pris en charge par les services de secours terrestres et la police aux frontières ».

Trois personnes soupçonnées d’être des passeurs

Selon la préfecture de Seine-Maritime, « les migrants étaient pris en charge par un système SDIS (le service départemental d’incendie et de secours) de Seine-Maritime et les associations agréées de sécurité civile ». Puis ils ont été envoyés « vers un gymnase mis à disposition par la ville de Dieppe, avec le soutien des moyens de transport de la communauté d’agglomération Dieppe-Maritime ».

« Parallèlement à cet accompagnement, les services de l’État examinent au cas par cas les situations administratives des migrants, en étroite collaboration avec l’autorité judiciaire. Trois personnes ont déjà été arrêtées par la police nationale et placées en garde à vue, soupçonnées d’être des passeurs. »a indiqué la préfecture dans un communiqué.

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Le Monde avec l’AFP

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