Figure emblématique de la télévision des années 90, Antoine de Caunes s’est confié à la rare sincérité au microphone de RTL. Invité d’Eric Dussart, il est revenu à ses premières années de carrière, évoquant notamment les excès supposés de l’ère du canal +. L’occasion de faire la lumière sur certaines rumeurs persistantes.
Plateau Memories … pas toujours clair
Invité de l’émission à la télévision, Antoine de Caunes a répondu aux questions d’Eric Dussart. Lorsque l’hôte l’interroge sur la consommation de substances dans le programme complet, l’ancien présentateur de nulle part ailleurs admet que cela aurait pu lui arriver au cours de ses jeunes années. « »Cela m’est arrivé une ou deux fois au moment du refrain ou des enfants de Rock, et je ne le recommande à personne. Nous pensons que nous sommes meilleurs, nous nous disons si géniaux, mais c’est pathétique quoi. Quand nous regardons ce rhume après, c’est terrible.« »
Une confession rare, livrée avec franchise, qui soulève un coin du voile dans les coulisses de la télévision dans les années 1980. Cependant, Antoine de Caunes spécifie n’ayant jamais été dépendant d’une substance. « »Non, jamais«Il dit, scannant toute l’ambiguïté de son rapport personnel aux drogues.
La rumeur de nier les «saladiers de coke»
Pendant des années, une rumeur persistante a entouré les débuts de Canal +. Dans les fantasmes collectifs, la chaîne cryptée aurait été le théâtre de diapositives dans les coulisses. Parmi les légendes les plus obstinées: l’existence de « Saladiers de coke« Dans les bureaux. A demandé cette rumeur, Antoine de Caunes réagit avec l’ironie. »Saladiers de coke, non? Je ne l’ai jamais vu.« »
Eric Dussart insiste, soulignant que tous les anciens canaux + disent la même chose. De Caunes ajoute alors en affirmant que ces salades n’existent que « Dans la légende et l’imagination de nos concurrents.« »
Un foyer clair, qui met ces comptes en perspective largement amplifiés au fil du temps. À travers ses réponses, leancien présentateur Réaffirme une vérité souvent oubliée: les excès prêts à une époque sont parfois plus fantasmés que réels.