Saint-Etienne : Ndombele et Moukoko en feu, le naufrage de la défense stéphanoise…. Les tops et les flops
Pour fêter ses 120 ans, le Gym n’a fait qu’une bouchée de l’ASSE vendredi, en ouverture de la cinquième journée de Ligue 1. Les hauts et les bas après cette démonstration niçoise.
HAUTS
Ndombele déjà à la maison
A l’image de ses coéquipiers, il a bien choisi son jour. Alors que son club célébrait ses 120 ans, Tanguy Ndombele a réalisé son meilleur match depuis le début de la saison, lors de la victoire 8-0 de Nice face aux Verts. Son meilleur match en fait depuis très, très longtemps… Auteur du deuxième but niçois, son premier en Ligue 1 depuis cinq ans, le milieu français de 27 ans confirme son regain de forme avec son nouveau club. Après plusieurs prêts infructueux à Lyon, Naples et Galatasaray, Ndombele a peut-être enfin trouvé un environnement qui lui convient.
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Moukoko déjà décisif
Pour sa première titularisation avec le Gym, Youssoufa Moukoko a fait impression. Bien aidé par la faiblesse de la défense stéphanoise, le jeune attaquant allemand a inscrit un doublé (26e, 39e) avant de délivrer une passe décisive. Son raté de la semaine dernière face à l’OM semble oublié. C’est ce genre de match qui peut l’aider à bien démarrer. Après avoir battu des records de précocité en 2020 avec Dortmund, puis participé à la Coupe du monde au Qatar, Moukoko avait eu du mal à confirmer. Nouveau départ ?
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Guessand, le plaisir d’offrir
Auteur d’un but et de deux passes décisives, Evann Guessant a fait mal aux Stéphanois par ses courses, son altruisme et tout le reste. Un match de patron pour le jeune attaquant niçois, sans forcer et en seulement 45 minutes. Mention spéciale à Mohamed Ali Cho, auteur d’un sublime coup de canon pour le 4-0 et poison pour l’arrière-garde stéphanoise lors du premier acte de ce match.
Les flops
La défense stéphanoise prend l’eau
La soirée n’a pas été simple pour eux non plus. Le quatuor Cornud, Abdelhamid, Batubinsika, Appiah a souffert le martyre. Transpercés à chaque montée niçoise, ils ont vécu une soirée cauchemardesque. Et surtout Batubinsika, auteur du but contre son camp synonyme d’ouverture du score et malheureux sur le deuxième. Ce fut une opération porte ouverte à tous les niveaux, et notamment sur le côté gauche de la défense de l’ASSE.
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Larsonneur a tout vu
Il a probablement vécu l’une des pires soirées de sa carrière. Avec ses huit buts encaissés, Gautier Larsonneur a même vécu l’une des pires soirées qu’un gardien puisse vivre. Même s’il n’est pas responsable des huit buts inscrits par Nice, l’ancien gardien de Brest a tout de même une lourde part de responsabilité dans ce qui constitue la pire défaite de son club en L1 depuis 1951.
