La dernière attaque de missiles contre la capitale ukrainienne remonte au début avril. Dans la nuit du mercredi 23 au jeudi 24 avril, Kiev a de nouveau été ciblé par des missiles russes. Le bilan: « Dix personnes tuées, 63 blessés, dont 42 hospitalisés parmi lesquels six enfants »estimer les services de sauvetage locaux.
« Les bâtiments résidentiels ont été endommagés: la recherche de personnes sous les décombres est en cours »Ils ont annoncé une boucle de messagerie télégramme. Les incendies se sont également déclarés dans la capitale, dont certaines ont été rapidement maîtrisées. Au total, la Russie a tiré 70 missiles et 145 drones dans six régions d’Ukraine pendant la nuit de mercredi au jeudi.
« Les pays du G20 impliqués dans les efforts diplomatiques »
Alors que les négociations entre Kiev, Moscou et leurs interlocuteurs (tout d’abord les États-Unis, mais aussi la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni), la présidence ukrainienne a immédiatement accusé, sur Telegram, le président russe, Vladimir Poutine, pour que « Seulement le désir de tuer ».
Volodymyr Zelensky, se rendant en Afrique du Sud au moment de l’attaque – il a depuis court-circuité son voyage pour retourner à Kiev rapidement après avoir rencontré le président sud-africain Cyril Ramaphosa -, pour sa part appelée cela « Laissez-nous nous rapprocher de la vraie paix ». Le président ukrainien a également profité de l’occasion pour rappeler sa volonté « Que les pays du G20 soient impliqués dans les efforts diplomatiques ».
La déclaration de l’ancien acteur survient quelques heures après que son homologue américain, Donald Trump, l’a attaqué violemment, l’accusant de faire des remarques « Incendiaires » sur la Crimée annexée, tandis qu’un accord avec la Russie serait « Très proche »selon lui. Réunion à Londres, mercredi 23 avril, les responsables ukrainiens et européens ont dû faire face à la position de la Maison Blanche en ce qui concerne ce territoire annexé par la Russie en 2014.
Le plan de cessez-le-feu promu par l’ancien Magnat immobilier insiste, en fait, sur la reconnaissance de la Crimée en tant que territoire d’allégeance russe par la Maison Blanche. Un bouleversement qui mènerait, « En fin de compte, la levée des sanctions contre la Russie dans le cadre d’un futur accord »annonce le Washington Post. Selon les États-Unis quotidiennement, Moscou pourrait alors accepter de mettre fin à sa guerre avec Kyiv.
« C’est notre territoire »
C’est pourquoi le refus de Kyiv d’accepter les termes de la Maison Blanche et de Moscou Frute Donald Trump, qui croit que la position de l’Ukraine « Ne fera que prolonger les tueries ». Le président des États-Unis considère la Crimée comme « perdue » pour l’Ukraine, comme il l’a répété dans un long message publié sur son réseau social Truth le mercredi 23 avril. « Il peut avoir la paix ou il peut se battre pendant encore trois ans avant de perdre tout le pays »Il a ensuite lancé vers Volodymyr Zelensky. Ce dernier avait réaffirmé, le mardi 22 avril, que« Il n’y a rien à discuter, c’est notre territoire »provoquant la colère du locataire de la Maison Blanche.
« Le président est très malheureuxAinsi surenchère le porte-parole de l’administration Trump, Karoline Leavitt, suggérant que les États-Unis ont de nouveau été tentés d’abandonner l’Ukraine à son sort. Sa patience atteint ses limites. »» Alors qu’il prévoit d’aller en mai saoudite, Donald Trump a jugé » possible « pour rencontrer son homologue russe, comme il l’avait déjà mentionné en février, bien que cette perspective soit « Peu probable ».
Les actions de la Russie, qui continue de bombarder le territoire ukrainien ne sont cependant pas non plus le goût de Donald Trump. Le président des États-Unis a dit « malheureux », Jeudi 24 avril et a exhorté Vladimir Poutine à arrêter les opérations militaires. «Ce n’était pas nécessaire, et le moment est très mal choisi. Vladimir, arrête! 5 000 soldats meurent chaque semaine. Assurez-vous que l’accord de paix est conclu!» »a lancé le républicain élu sur Truth Social.
Plus tôt mercredi, son vice-président JD Vance avait suggéré « Greezer les lignes territoriales à un niveau proche de ce qu’ils sont aujourd’hui »et pour réaliser « Échanges territoriaux » Entre l’Ukraine et la Russie. « Les États-Unis continuent ses efforts de médiation et nous (dans) féliciter « Réjouissait le porte-parole de Kremlin, Dmitri Peskov, en réponse aux attaques de la Maison Blanche contre Volodymyr Zelensky.
Du côté européen, le Royaume-Uni a profité de l’arrivée des représentants à Londres pour affirmer à nouveau qu’il appartenait « Il appartient à l’Ukraine de décider de son avenir ». La présidence française a annoncé que le« Intégrité territoriale » de l’Ukraine était un « Exigence très forte » Pour ses partisans. Emmanuel Macron s’est exprimé lors de sa visite à Madagascar, jeudi 24 avril: «La position de la France est constante, elle ne changera pas. Nous sommes pour la souveraineté des peuples et pour l’intégrité territoriale.» »
Le président français voulait aussi « Le président Poutine cesse de mentir »Quand il dit qu’il veut « Paix » Tout en continuant à bombarder l’Ukraine. Soit une façon de ranger derrière Volodymyr Zelensky, qui continue de réclamer un cessez-le-feu « Immédiat, complet et inconditionnel ». Le conflit entre la Russie et l’Ukraine semble donc être voué à stagner, malgré l’espoir d’une rupture dans les combats.
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