« Nous avons, nous aurons sans doute, un rôle d’arbitre dans les mois qui viennent et à partir d’aujourd’hui », a déclaré samedi le président du Rassemblement national.
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Après les premiers discours de Michel Barnier en tant que locataire de Matignon, Jordan Bardella, le président du Rassemblement national (RN), a estimé que le Premier ministre était « sous surveillance »et que la RN avait choisi de lui accorder le « le bénéfice du doute ». Le fait de ne pas avoir choisi « Une censure a priori » ne signifie pas qu’il n’y aura pas de « censure dans les mois à venir »il a prévenu. « Rien ne peut se faire sans nous »a-t-il ajouté devant la presse lors de son déplacement à la foire de Châlons-en-Champagne (Marne). Et d’insister : « La vie politique dans son fonctionnement ne peut plus se passer d’un mouvement politique qui compte 143 députés à l’Assemblée nationale. »
« M. Barnier est aujourd’hui à la tête d’un futur gouvernement fragile dans lequel il devra intégrer dans les préoccupations, dans les actions qui seront les siennes, les sujets qui sont ceux du Rassemblement national »a ajouté Jordan Bardella.
« J’espère que le Premier ministre et le futur gouvernement pourront non seulement se mettre au travail, mais qu’ils seront attentifs aux revendications qui sont désormais les nôtres. »il a également dit.
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