Revue de Presse PSG : Luis Enrique, stade, Marquinhos…
Vu et lu sur le PSG dans la presse française ce samedi 30 mars 2024. La gestion de Luis Enrique avec ses internationaux, une nouvelle étape pour la construction d’un nouveau stade, le point sur le groupe en J-1 du Classique…
Dans l’édition d’aujourd’hui, L’équipe discute de la gestion de Luis Enrique avec ses internationaux. Après cette trêve internationale, le technicien espagnol a décidé d’accorder deux jours complets de repos aux joueurs ayant participé aux différents rassemblements avec leurs sélections. Ainsi, les internationaux ont repris l’entraînement ce vendredi, à deux jours du déplacement à Marseille. « Gestion assumée par le coach et appréciée par son staff. » Avec un planning de plus en plus chargé, les joueurs ont besoin de moments pour décompresser. Même avant le début de la trêve, Luis Enrique avait décidé d’accorder ces deux jours de repos à ses joueurs. « Lundi et mardi avec un retour mercredi à 17 heures pour les non-internationaux, mercredi et jeudi avec un retour vendredi à 17 heures pour ceux concernés par les rencontres avec leur pays. » Si cette décision peut être assimilée à du laxisme, l’entraîneur parisien y voit plutôt un moyen d’apporter un peu de fraîcheur à son effectif. Depuis le début de la saison, Luis Enrique veille à ne pas surcharger le planning de ses joueurs. Management apprécié par l’ensemble de son groupe. En contrepartie, l’entraîneur de 53 ans exige un maximum de concentration et un investissement sans faille lors des entraînements.
Autre particularité introduite depuis l’arrivée de l’Espagnol, les joueurs sont rarement reposés au lendemain des matchs. « Faire revenir les joueurs pour le nettoyage ou le traitement le lendemain du match et leur donner du repos le lendemain nous permet de les avoir sous la main et de tout contrôler concernant l’état physique de chacun »expliquer LE. Cela permet également aux joueurs d’éviter des sorties tardives après le coup de sifflet final. Avec une convocation le lendemain à 9h ou 10h, le coach minimise les risques. « Ils peuvent encore sortir le lendemain soir mais ils ont déjà moins de demandes potentielles. Des détails qui peuvent paraître insignifiants, mais d’une importance capitale pour Luis Enrique. »
Le quotidien sportif fait également le point sur l’infirmerie de Marseille Olympique. Lors d’une conférence de presse, Jean-Louis Gasset a confirmé les absences de Bamo Meite, Jean Onana, Jonathan Claus Et Ismaïla Sarr. Pour Léonard Balerdi, Samuel Gigot, Ulisses Garcia Et Pape Gueye, leur évolution sera suivie de près dans les prochaines heures. Touché à l’épaule depuis le 25 février Samuel Gigot participé à l’entraînement de vendredi. Il lui faudra surmonter l’appréhension du choc après une telle blessure. « En interne, nous restons optimistes quant à la participation de Guèye (veau) et Balerdi (adducteurs), est resté en soins ce vendredi. »
Pour sa part, Le Parisien met en avant le dossier du futur stade de PSG. Et une nouvelle étape a été franchie vers un nouveau stade. Une lettre administrative adressée au conseil régional deIle de France mi-mars confirme la volonté des dirigeants parisiens de construire une nouvelle enceinte. « Une démarche nécessaire pour avoir une chance de voir votre futur projet validé, même s’il est encore loin d’être abouti. » Dans une lettre signée de la main de son secrétaire général, Victoriano Melerole club parisien dévoile ses intentions sans préciser le lieu qui pourrait être choisi. « Et pour cause. À ce jour, aucun dossier ne coche toutes les cases : transports en commun, éloignement, environnement… Il y a toujours un piège »précis LP. Les fichiers Montigny-le-Bretonneux (Yvelines), Gonesse (Val-d’Oise), Aulnay sous Bois (Seine-Saint-Denis) Et Châteaudun (Eure-et-Loir) n’a provoqué aucune vague d’enthousiasme parmi les dirigeants « Je ne me suis pas trompé en observant certains élus se faire de la publicité à bas prix dans le dos des PSG. »
Même si certaines personnes ont encore du mal à s’habituer à l’idée de passer du Parc des Princes, l’idée fait son chemin en interne. Officiellement, cette démarche reste un plan B, mais cette idée prend chaque jour de plus en plus de corps. « Au siège, la cellule immobilière dirigée par Nicolas Ramillon est en alerte. Les réunions se multiplient avec Hospitalité des Légendesune société spécialisée dans l’immobilier, et Arctos, le nouvel actionnaire. Les représentants du fonds américain sont pleinement investis dans ce dossier hautement stratégique à leurs yeux »rapports Le Parisien. Si Arctos ne fait pas campagne pour un changement de Parc des Princesil pousse Nasser al-Khelaïfi d’envisager d’autres options. Et ce dernier est convaincu depuis longtemps. « Lorsqu’il parle à ses équipes, NAK évoque une « nouvelle destination », une « expérience client » d’un type nouveau qui ferait vite oublier que le PSG s’est éloigné du tour Eiffel. Ce projet de stade de 70 000 places doit avancer dans la plus grande confidentialité. » Le président de PSG ne veut pas se laisser distancer par d’autres clubs européens comme Real MadridLE FC Barcelona, Manchester United ou Newcastle. Après de vifs échanges avec le Mairie de Paris en 2023, Nasser al-Khelaïfi exige désormais un silence total de la part de ses équipes. Aucune réconciliation n’a eu lieu avec le L’hôtel de ville. « Il n’y en aura pas autantAnne Hidalgo sera en fonction ou tant qu’elle refusera de vendre le Parc des Princes. »
Le quotidien francilien a également obtenu un entretien avec Arnaud Péricardle maire de Saint-Germain-en-Laye. Fervent supporter du club, il suit de près l’évolution de ce dossier. « Il joue l’intermédiaire entre les équipes deAnne Hidalgo et ceux de Nasser Al-Khelaïfi, alors que les négociations semblent avoir complètement échoué. » Il a notamment été interrogé sur cette rupture du dialogue entre les deux parties : «Quand nous y sommes Ville de Paris et le PSG, on ne peut pas ne pas se parler. C’est un malentendu pour les supporters, pour les riverains. Nous devons trouver le chemin du dialogue. Il y a eu quelques commentaires maladroits, c’est vrai, mais rien n’est irréversible. J’ai de très bonnes relations historiques avec PSG ainsi qu’avec la mairie de ParisJ’échange régulièrement avec Emmanuel Grégoirele premier adjoint deAnne Hidalgo. Avec le capital, nous partageons deux clubs (le PSG et le Stade Français) et possède une forte emprise foncière en Saint Germain. Je ferai tout pour aider à mon niveau, même microscopique. »
S’il espère encore voir le PSG rester à Parc des Princes, Arnaud Péricard a également évoqué la crédibilité des candidats : « Le site Internet de Saint-Quentin-en-Yvelines mérite une expertise soutenue. Il y a du foncier et déjà le Golf National, le Vélodrome National… Il y a une cohérence sportive, ça ferait une ville sportive intéressante. Et c’est proche du centre de formation. Reste la question de l’accessibilité. Il faudrait renforcer l’offre de transport pour pouvoir transporter des dizaines de milliers de supporters. Nous l’avons fait pour Stade de Franceavec le RER, le métro… Bordeaux par contre, le tramway menant à Matmut Atlantique a une capacité insuffisante. Il faut être réaliste et c’est un point sur lequel nous devons être particulièrement sensibles. Et ailleurs dans la région ? C’est le club de tousIle de France, C’est vrai. Mais le PSG est né à Saint Germainoù se trouve le Camp des Logesil a installé son centre de formation à Poissyson siège administratif à Boulogne Billancourt…Si le club déménage Paris Pour construire un nouveau stade, cela ne peut se faire que dans l’ouest parisien. En tout cas, je le souhaite. »
Enfin, Le Parisien fait le point sur le groupe PSG à J-1 du déplacement à Marseille. Ce vendredi, Marquinhos Et Milan Skriniar ont une fois de plus participé à l’intégralité de la séance avec leurs coéquipiers. Blessé depuis le 17 février, le capitaine du PSG continue les séances. Pour sa part, Milan Skriniar a participé à sa deuxième séance collective consécutive ce vendredi. Seul Presnel Kimpembe (tendon d’Achille) et Bradley Barcola (ischio-jambiers) manquaient.