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revivre son interprétation de l’hymne à l’amour

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Céline Dion a bel et bien chanté au sommet de la Tour Eiffel ce vendredi, à la toute fin d’une grandiose cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques. Revivez l’Hymne à l’Amour en vidéo.

Céline Dion aura bel et bien chanté. Au terme d’une longue et émouvante cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de 2024, à Paris ce vendredi soir, la diva québécoise est apparue au sommet de la tour Eiffel d’où elle a interprété l’Hymne à l’Amour d’Edith Piaf. Le point d’orgue d’un spectacle qui a vu défiler des milliers d’athlètes sur de nombreux bateaux sur la Seine (et sous la pluie) et un nombre incalculable de scénographies spectaculaires avant le protocole. Celui-ci s’est terminé par l’allumage de la vasque olympique par Teddy Riner et Marie-José Pérec, en duo, entourés d’une dizaine d’athlètes français et paralympiques, au Jardin des Tuileries. La vasque a décollé d’une montgolfière et restera suspendue au-dessus de la capitale pendant toute la quinzaine olympique.

C’est à ce superbe moment, surplombant la capitale, que Céline Dion est apparue, au sommet de la tour Eiffel. Sa première prestation publique depuis ses graves ennuis de santé en 2020. Auparavant, Lady Gaga, en bustier noir et plumes roses, avait chanté Mon truc en plumes, titre emblématique du music-hall français, en début de cérémonie. Aya Nakamura, la chanteuse francophone la plus écoutée au monde, l’a suivie, toute de plumes d’or vêtue, pour un medley de ses tubes Pookie et Djadja et un standard de Charles Aznavour, For me Formidable. A la nuit tombée, la chanteuse française Juliette Armanet a pris le relais avec Imagine de John Lennon, chanté sur la Seine sur une péniche, accompagnée par Sofiane Pamart sur un piano enflammé.

Autres moments forts : Gojira, groupe de métal français à l’aura internationale, s’est associé à la cantatrice franco-suisse Marina Viotti pour interpréter Ah ! Ca ira, un chant révolutionnaire français, avec également une Marie-Antoinette décapitée. Le directeur artistique Thomas Jolly avait promis des tableaux qui racontent l’histoire d’un pays riche de sa « diversité », « inclusif », « non pas une France mais des Frances », célébrant « le monde entier uni ».

GrP1

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