Depuis le début de la corps législatifun total de 16 563 questions écrites ont été interrogés par le parlementaires. Rien que pour la troisième année, 4 356 questions écrites ont été posées, contre 6 563 l’année précédente. Cependant, sur le nombre total de ces questions, la gouvernement n’ont répondu qu’à 1 783 d’entre elles, ce qui représente un taux de réponse de 41,26 %, une baisse notable par rapport aux années précédentes, notamment la deuxième année, où le taux était de 64,96 %. En termes de développement, la taux de réponse du gouvernement montre une tendance à la baisse au cours des trois premières années de cette législature.
LE parlementaires de l’opposition ont été les plus actifs, posant 66,05 % des questions écrites (2 877 questions), contre 33,10 % pour les groupes de la majorité (1 442 questions). Ce déséquilibre est également visible dans le traitement des questions, où la groupes d’opposition continuent de jouer un rôle dominant, même si les réponses du gouvernement à leurs questions restent marginales.
Une baisse de l’efficacité du contrôle parlementaire
Le rapport de SimSim-Participation citoyenne propose également un analyse détaillée de la distribution de questions orales par groupes parlementaires au cours de la troisième année de la législature. Sur un total de 3 045 questions orales posées, les groupes parlementaires de la majorité ont été particulièrement actifs. Le groupe parlementaire de la Rassemblement national des indépendants (RNI) a soumis 743 questions, avant la groupe authenticité et modernité (PAM) avec 1 037 questions. Le groupe de Istiqlal ont posé 265 questions, tandis que d’autres groupes majoritaires, comme les groupe constitutionnel démocratique et socialcontribué plus modestement avec 70 questions.
Du côté de l’opposition, le groupe socialiste a été le plus actif, avec 358 questions orales posées. Groupe Haraki a également été productif avec 239 questions, suivi par le groupe progrès et socialismequi a soumis 201 questions. groupe justice et développement n’ont posé que 162 questions. Cette répartition montre que l’opposition a réussi à maintenir une forte présence dans le contrôle gouvernementalmême si les groupes majoritaires restent généralement plus productifs en termes de questions orales. Cette dynamique souligne l’importance des questions orales comme outil de promotion de la débat public et la responsabilité.
Une disparité marquée entre les ministères
En outre, dans cette édition, le rapport n’a pas abordé un aspect très important de la production législative. Il s’agit de la prédominance des initiatives gouvernementales par le biais de projets de loi, au détriment des propositions de loi. Une réalité régulièrement décriée par les députés, notamment ceux de l’opposition.
lematin