Les technologies, telles que le cloud et l’IA, augmentent rapidement la création et l’utilisation de données. Cela signifie que les organisations doivent changer leur façon de considérer les données et les informations qui y sont stockées. La Journée mondiale de la sauvegarde est le moment idéal pour initier ce changement.
Les sauvegardes sont nécessaires pour que les entreprises soient réactives et flexibles en cas d’attaque de ransomware ou de sinistre. Toutefois, ils ne doivent pas être effectués au hasard. Autrement, les ressources et la bande passante seraient dépassées et l’organisation serait également exposée à un risque de non-conformité. Dans les environnements actuels, il est impératif de comprendre les données et leur niveau de risque.
En donnant la priorité à la confidentialité et à l’hygiène des données, les entreprises peuvent améliorer leur sécurité au-delà de la préservation des informations et de la reprise après sinistre. L’analyse des données, par exemple, permet d’identifier les redondances et les inefficacités, réduisant ainsi la quantité globale de données à conserver et réduisant l’empreinte d’une organisation.
Les technologies de confidentialité vont encore plus loin, contribuant à minimiser l’utilisation des données tout en encourageant la durabilité, l’utilisation éthique des informations et en garantissant le respect des réglementations et des audits. Des technologies telles que le masquage des données, la tokenisation et le cryptage peuvent également protéger la vie privée des individus et sécuriser les informations critiques, tout en empêchant une rétention excessive des données.
En combinant l’hygiène des données avec des technologies de confidentialité comme celles-ci, une organisation peut conserver uniquement les données dont elle a besoin. Cela peut réduire les dépenses de sauvegarde des données et mettre en œuvre plus efficacement des mesures de sécurité, telles que le cryptage et les contrôles d’accès, pour protéger les informations sensibles restantes.
