L’examen en comité du projet de loi relatif à la fin de vie a commencé le vendredi 11 avril, modifiant un point déterminant. Les députés ont ainsi approuvé un amendement d’Elise Leboucher (La France Insoumise, Sarthe) accordant à la personne qui souhaite recourir pour aider à mourir la liberté de choisir entre l’auto-administration du produit mortel et de l’administration par un médecin ou une infirmière. Le texte initial prévu qu’il n’est possible que lorsque le patient « N’est pas capable de procéder physiquement ».
Le Rapporteur, Olivier Falorni (modem, Charite-Maritime), a donné une opinion de la sagesse, croyant que ce changement « Ne bouleverserait pas l’équilibre du texte ».
Un changement « Tout sauf trivial »rétorqué le député (Les Républicains) du Bas-Rhin Patrick Hetzel: « Nous sommes dans une supervision juridique qui n’est plus de la même nature » avec un « Texte du suicide assisté et de l’euthanasie, et n’aide plus le suicide et l’euthanasic exceptionnel dans un certain nombre de cas limités »a-t-il souligné, inquiétant pour sa part d’un interrogatoire de « Équilibre » texte.
Les députés, en revanche, ont rejeté, comme le rapporteur les a invités, les amendements de leur collègue de Paris Danielle Simonnet (groupe écologique et social) qui aurait autorisé l’aide à mourir en fonction des premières directives des patients qui ne sont plus en mesure d’exprimer leur volonté.
Cinq critères pour aider à mourir
Dans la soirée, les députés ont commencé à examiner l’article clé du projet de loi, qui définit les critères ouvrant le droit d’aider à mourir. Ces cinq critères cumulatifs sont:
- avoir au moins 18 ans;
- être français ou résider en France;
- être avec un « Affection sévère et incurable, qui commet le pronostic vital, en phase avancée ou terminale » ;
- Ce dernier provoquant un « Souffrance physique ou psychologique » réfractaire aux traitements ou insupportable;
- être capable de manifester votre testament d’une manière libre et éclairée.
Cette définition est différente de ce que le projet de loi a procédé par le texte de Falorni. Poursée au printemps 2024 par le ministre de la Santé, Catherine Vautrin, il a prévu que le pronostic vital serait commis « Court ou moyen terme » – La difficulté à savoir ce qui couvre cette notion « Moyen terme ».
Une opinion sur la haute autorité pour la santé sur le sujet est attendue « Dans quelques jours »Avant l’examen pendant la session, a déclaré Catherine Vautrin mercredi lors de son audience par les députés. Ce dernier s’est séparé à minuit sans avoir décidé de ce point crucial. Ils reprendront leurs échanges après les vacances parlementaires le 28 avril.