« Quelle époque ! » : Matthieu Lartot ému aux larmes en écoutant la lettre bouleversante de Charlotte Dhenaux
Le journaliste sportif de France Télévisions a été très touché hier soir par la lettre de l’humoriste du talk-show de France 2.
Un moment extrêmement émouvant. Léa Salamé et ses complices ont accueilli, samedi 6 avril dans « Quelle époque », le présentateur Denis Brogniart, le président du comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 Tony Estanguet, la journaliste Raphaelle Bacqué, l’animatrice Veronika Loubry, le plongeur Alexis Jandard et la reine du rap queer Piche.
Une lettre émouvante
Egalement invité du talk-show incontournable de France 2, Matthieu Lartot, contraint de se faire amputer de la jambe après un cancer du genou droit l’année dernière, a eu droit à la séquence de la lettre de Charlotte Dhenaux. Ce dernier a alors déclaré : «Je suis mauvais en sport. Je n’en sais vraiment rien. Mais pour apprendre de toi, je veux que tu le fasses quotidiennement. Vous me donnerez les bonnes phrases à méditer, pour les matchs qu’on préférerait ne pas jouer.«
Face à Léa Salamé et Christophe Dechavanne, invités permanents de l’émission, l’humoriste a poursuivi : « Journaliste sportif et joueur de rugby, buveur ou mêlée, vous appréciez les mi-temps. L’énergie de votre voix accompagne les exploits. Mais votre modestie niera votre performance. En vous regardant parler, vous aurez presque l’impression que vous venez de vous remettre d’une infection courante. On pourrait même croire, en marchant à vos côtés, que vous avez encore les deux chaussures au bout des jambes.«
Avant de poursuivre, sur le plateau de France 2, en s’adressant à Matthieu Lartot : « Vous avez battu ce gros crabe. C’est bien fait pour lui, il n’aurait pas dû demander une remise. J’espère au moins qu’il a appris sa leçon. Cela lui apprendra à demander une rançon. Vous l’avez écrit dans votre livre en guise de manuel : « être combatif ne signifie pas refuser de voir la réalité ». Parce que ce que l’on pense être le plus laid de la vie sublime ceux qui ont foi en votre philosophie.«
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Et Charlotte Dhenaux conclut sa lettre à celui qui est le commentateur des matchs de l’équipe de France de rugby : «Vous vouliez être debout pour la Coupe du Monde. Alors tu t’es levé et tu as dit : « A toi, Cognacq-Jay. Je rêve de toi comme maître de stage, tu es un tueur. Je ferai un bon rapport qui n’amputera pas le cœur.«
Puremédias vous invite à voir cette séquence.