Cela ressemble à un jeu de poker, avec stratégie, négociation, bluff. Et un sentiment de coups. Pour bien bluff, vous devez choisir votre moment et observer les autres joueurs à la table. Ce n’est pas seulement une question de tromperie les adversaires, mais de profiter de leur psychologie, de confusion de profiter et de créer des opportunités rentables.
Vitre de transfertVoilà: le jeu de poker d’un agent de joueurs essayant de se remettre sur le terrain de jeu du football, avec des sommes colossales. Un agent entre Paris, sa banlieue, Salzbourg, Ryad, Dubaï, Ibiza et Madrid. Entre les premiers minots et les joueurs superstar entravés par des monarchies pétrolières qui les achètent comme des actifs de grande valeur. Au milieu, les gars que nous ne le faisons pas, avec une mine patibulaire exagérée – normale, ce sont les méchants, très stéréotypés pour l’époque.
C’est Jamel Debbouze, un connaisseur parfait de la balle ronde et un ami de joueurs dans la vraie vie, qui joue l’agent manipulateur. C’est lui qui a eu l’idée du film. Olivier DeMangel et Thomas Finkielkraut l’ont scénarisé. Tristan Séguéla l’a produit, dans le style nerveux et efficace de sa série Cachette sur Netflix.
Sur la table Vitre de transfertUne observation méticuleuse du monde du football, un timing précis et une compréhension de la dynamique des transferts des joueurs et de l’importance de la logique financière spéculative. Avec, pour garder le spectateur sur le bord du terrain, un compte à rebours pour terminer la fiction et son synopsis: pour réussir dans un transfert juteux quelques jours avant la fin de la fenêtre de transfert.
Le temps passe, la presse, et c’est tout le film qui va rapidement: Jamel Debbouze de presque toutes les scènes, donne le tempo. Il court, agité, saute dans les trains, les avions, passe sa vie au téléphone. Un personnage en accélération et avec une conversation qui va bien à l’acteur humoristique, ici en mode sombre: la distribution, le sens de la formule, l’abattage. Il est dans son jus, dans son jeu, et ça correspond. Son personnage est dans une impasse, commet un manque, un manque, un ment, c’est drôle.
C’est bon Cinoche, tout n’est pas réaliste, mais il y a de réels, là-bas: la vraie passion du football fou de Jamel Debbouze, et quelques souvenirs de la légende – le plus beau but de Zidane, le 15 mai 2002, sa reprise de la volée victorieuse De la gauche à l’entrée à la surface, lors de la finale de la Ligue des champions. Le but de la victoire de Real de Madrid contre Bayer Leverkusen. Un objectif mythique, « La Vole de Glasgow ». Ceci est le service de fans garanti.
Vitre de transfert Parlez aux fans, mais gardez tout le monde dans le match, même ceux qui ne connaissent rien ou presque ou de loin le football. Jamel Debbouze ne bluff pas avec l’intelligence émotionnelle de son personnage. Il ne se précipite pas avec sincérité, et c’est déjà tout. « Maintenant que j’ai eu la chance de frotter les épaules avec les joueurs, cet environnement et d’avoir fait ce film, j’ai beaucoup plus de souci pour les joueurs. Je les attaque beaucoup plus lentement », dit Jamel. « J’aime ce sport plus parce que Je le regarde maintenant par le spectre de l’humanité.
Vitre de transfert De Tristan Séguéla, dans les salles ce mercredi 19 février. Durée: 1 H 59.
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