« Que du cul » : Slimane accusé d’agression sexuelle, l’affaire s’agrandit
L’affaire Slimane s’emballe. Ce vendredi 22 novembre 2024,
Médiapart témoignages publiés accusations portées contre le chanteur. Le premier vient deun homme de 31 ans. Celui qui affirme « ayant reçu plusieurs messages à caractère sexuel sans avoir rien demandé, en juin 2019, après une soirée avec le représentant de la France lors du concours Eurovision 2024 dans un bar de nuit parisien, l’Orphée, situé dans le quartier de Pigalle..
Une quatrième victime présuméeégalement un homme, dit qu’elle a reçu « beaucoup de messages » du chanteur qui l’aurait invitée à le rejoindre « au 16ème sièclee quartier de Paris » en plus de le lui envoyer via l’application Snapchat
« une vidéo de lui en train de se masturber ». L’homme a apparemment cessé de lui répondre.
Slimane cherchait-il à « tout sexualiser » ?
Dans son article, Médiapart tend également le micro à un ami de ce quatrième homme. « Il m’a raconté ce qui s’était passé à la fête, à laquelle je n’étais pas présente, puis m’a montré messages de Slimane. Ils avaient tous clairement une connotation sexuelle, il n’y avait que du culil était évident que Slimane cherchait à tout sexualiser »dit-il à nos confrères.
Il continue en décrivant son ami comme « un gars sensible » Et « plus jeune que lui ». « J’ai proposé de répondre à sa place, mais il n’a pas voulu »souligne ce proche qui « Cela faisait des années que je voulais tout jeter »mais « Je ne l’ai pas fait pour (son) ami. » Contacté par Médiapart, l’entourage de l’interprète Mon amour n’a pas souhaité réagir à ces nouvelles accusations.
Slimane : ce surprenant soutien apporté au chanteur
Si le parquet de Saint-Étienne annonçait
l’ouverture d’une enquête à
« harcèlement sexuel aggravée par l’utilisation d’un support numérique ou électronique »Slimane n’a pas perdu le soutien de certains de ses amis. Au micro de France Info le jour de la parution de l’article en charge de MédiapartVitaa a a pris position en faveur de son fidèle collaborateur avec qui elle a notamment signé un album commun, Contre.
« C’est mon frère. Je suis très fidèle. J’ai des valeurs familiales qui sont comme ça, mes parents m’ont élevé comme ça. Il est mon frère et dans les épreuves, tu ne laisses pas tomber ta famille« a insisté la chanteuse, précisant qu’elle n’a jamais eu l’intention de couper les passages où l’on voit l’artiste en plein ennui judiciaire dans son documentaire Vitaa, je m’appelle Charlotte, diffusé sur TMC.