Une entreprise du Sud de la France a signé en 2017 un contrat pour développer la marque en France. Face au retard des ouvertures, la chaîne préfère désormais un nouveau partenaire. Au grand dam du franchisé français.
Huit millions d’euros investis… pour un partenariat tombé à l’eau. Pour B-Wing, la pilule est dure à avaler. Cette filiale de Brescia Investissements, une entreprise familiale du sud de la France, avait signé en 2017 un contrat de franchise avec la chaîne de fast-food américaine Wingstop, pour importer la marque et sa carte de poulet frit en France. Sept ans plus tard, elle n’a pu ouvrir qu’un seul restaurant et l’Américain, qui lui reproche de ne pas s’être développé assez vite, a changé de discours. Début août, l’enseigne a annoncé vouloir attaquer le marché français avec un nouveau partenaire : les frères Traoré, déjà à l’origine du succès des fast-foods O’Tacos.
Wingstop, fondée en 1994 près de Dallas au Texas, connaît une croissance rapide et souhaite passer de 2 000 à 10 000 restaurants dans le monde à moyen terme. Le cours de l’action a été multiplié par dix depuis son introduction en bourse en 2015. L’entreprise a profité des Jeux Olympiques…
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