Le bureau du procureur de Paris exige, le mardi 28 janvier, un procès devant le tribunal pénal départemental pour trois policiers soupçonnés d’avoir été impliqués dans l’agression raciste par le producteur de musique noire Michel Zecler, en 2020, et d’avoir établi un faux procès-verbal Cachez-le, selon une source proche du dossier cité, le jeudi 30 janvier, par l’agence France-Presse (AFP). Informations alors confirmées par l’accusation.
« Mon client, qui se bat depuis le 21 novembre 2020 pour la justice à faire, voit dans la position de l’accusation une étape essentielle vers la reconnaissance de la vérité. Nous espérons que cette procédure établira des responsabilités avec clarté, jusqu’à la Gravité des faits qu’il a subi »Bienvenu Caroline Toby, avocate de M. Zecler. Les avocats de la police n’ont pas immédiatement répondu à l’AFP.
Dans ce dossier qui avait déménagé au chef de l’État, le procureur de demande un procès pour trois policiers, Aurélien L., Philippe T. et Pierre P., pour un faux écrit public par personne dépositaire de l’autorité publique, un criminel infraction. L’accusation demande que les deux premières soient également jugées pour un autre crime, celle de la violence aggravée par plusieurs circonstances, et en particulier: par la personne dépositaire de l’autorité publique, ayant entraîné plus de huit jours d’incapacité totale pour le travail et accompagné ou accompagné ou accompagné ou accompagné ou accompagné ou accompagné ou accompagné suivi de mots racistes. Pour le troisième policier, la nature raciste de la violence n’est pas conservée par l’accusation.
« Dirty Negro »
L’accusation demande également un procès distinct, devant le tribunal pénal, pour un quatrième policier, soupçonné d’avoir commis une violence contre Michel Zecler et une douzaine de jeunes hommes présents dans le studio de musique où le producteur a été attaqué. La décision finale sur un procès appartient au juge enquêteur.
Le 21 novembre 2020, au début de la soirée, Michel Zecler est allé au tabac dans son studio de musique parisien après un contrôle déclenché en particulier à cause d’un supposé « Strong cannabis odeur ». L’enquête pour « Violence » et le « Rébellion » dont la police l’accuse est rapidement classée. Cinq jours plus tard, Loopsider révèle des images de surveillance vidéo contredisant la version initiale de la police, déclenchant l’indignation au sommet de l’État. Placés en garde à vue, la police reconnaît les coups injustifiés.
À la fin de leur acte d’accusation, un brigadier et un soldat de la paix âgé de 31 ans et 23 ans au moment des faits sont placés en détention pré-provenante, une décision extrêmement rare pour les policiers. Ils avaient été libérés sous surveillance judiciaire après un mois.
Une confrontation a été organisée le 27 février 2024 entre les deux policiers et M. Zecler, pour savoir si l’ancien a qualifié le producteur en tant que « Dirty Negro »Ce qu’il dit dès le début malgré les refus des fonctionnaires.