« Je suis un violeur, comme toutes les autres personnes présentes dans cette salle », a-t-il d’emblée déclaré, demandant « pardon » sous le regard attentif de ses coaccusés. Cinquante hommes sont jugés pour le viol aggravé de son ex-femme Gisèle, 71 ans, qu’il a droguée avant d’inviter ces inconnues chez lui, à Mazan (Vaucluse) et de filmer les sévices en question. Des faits qu’il qualifie d’« abominables » et reconnaît dans leur intégralité. Sa seule concession du jour.