À la fin de la courte défaite de son équipe sur la pelouse de Dax (9-10), le directeur de la Sugen Sébastien Calvet a préféré conserver l’état d’esprit de ses hommes et était combatif à l’approche du dernier jour du championnat.
Vous avez dominé cette partie. Le résultat n’est pas là. Qu’as-tu manqué?
Un peu plus de succès. Je crois que l’état d’esprit des garçons était génial, la stratégie était bonne et je pense que les gars étaient lucides. Les gars ont combattu le combat pour se battre. Nous étions plutôt propres dans la conquête et les lancements étaient plutôt efficaces. Mais nous avons cruellement échoué dans le réalisme. Nous perdons plus de douze ballons dans les 22 mètres de l’opposition, il gémit. je
conserverait l’investissement des gars dans ce contexte très difficile. Nous aurions dû gagner cette réunion, en tout cas, nous l’aurions mérité! Bravo à Dax parce qu’ils avaient eux aussi la pression. Je le répète, nous avons un groupe de joueurs fabuleux et c’est ce que je veux me souvenir ce soir. Nous compterons sur cet état d’esprit et nous y construire pour affronter le Mont de Marsan, pour le dernier
jour…
Malgré la déception, c’est la fierté qui domine?
Oui, Malgré la défaiteC’est la fierté d’un groupe entier que je garderai! Nous vivons des moments difficiles, mais je pense que les gars sont conscients depuis un certain temps. Quelque chose devait vraiment arriver. Les joueurs ont réagi de la meilleure façon, mais il a été écrit que ce serait compliqué jusqu’à la fin, jusqu’au dernier jour. Nous irons l’obtenir la semaine prochaine et si nous mettons cet état d’esprit, si nous restons unis, lucides et que nous livrons le combat qui doit être, nous pouvons être encore plus fiers.
Vous avez mentionné le manque de réalisme dans le domaine de la marque. Est-ce nécessairement le signe d’une équipe qui est en doute?
Inévitablement, il y a eu plus de fièvre que de doute. Nous sommes retournés quatorze ou quinze fois en 22 mètres et pour le faire, nous ne devons pas en douter. Les gars ont combattu la bataille que ce match exigeait. Ils ont fait les efforts mais n’ont pas été payés. Je note que notre équipe était lucide et a fait les bons choix, mais l’arrivée n’était pas là. Dans Conquest, nous avons fait le travail, devant l’une des plus grandes mêlées de ce pro d2. Comme beaucoup d’autres fois, cela n’a pas souri ce soir. Nous n’allons pas surmonter certains
autres.
Les résultats des autres jeux, dans le jeu, ont changé la façon dont vous entraînez?
Non. On m’a donné le score d’Aurillac qui a mené à Nevers, en première mi-temps. J’ai dit à mon personnel de m’arrêter de me dire de se concentrer sur les instructions à donner aux garçons. Au-delà du résultat de l’aurillac dans Nevers (21-20 pour Aullac, note de l’éditeur)Nous aurions dû gagner ce match et c’est ce dont nous nous souviendrons pour le dernier match.
Vous avez votre destin en main, comment allez-vous aborder cette « finale » à Armandie, la semaine prochaine contre le stade Montrou?
J’espère qu’il y aura beaucoup de bruit à Armandie. Il y a eu des déceptions et de la colère. Nous avons également eu la satisfaction pendant cette saison. Je crois vraiment que les garçons méritent d’être soutenus très dur vendredi prochain! Il nous suffit de gagner pour enfin souffler. Ce que je vais dire est paradoxal et peut-être difficile à comprendre, mais je suis animé par plus de fierté
Après ce match contre Dax, que j’étais après certaines victoires …