Selon une source bien informée, le
prince de Galles se prépare activement à son futur rôle de
monarque et a d’ores et déjà réfléchi aux évolutions qu’il souhaite
mettre en place quand il succèdera à son père, le roi Charles III.
Si rien n’est encore définitif, plusieurs pistes se dégagent
déjà.
En premier lieu, le prince William envisagerait de réduire
encore davantage le nombre de membres actifs de la famille royale
par rapport à aujourd’hui. Cela se traduirait par moins
d’engagements et de patronages royaux. Le prince souhaiterait aussi
instaurer moins de formalisme et de protocole au sein de la
monarchie.
Autre changement majeur qui se profile : l’abandon progressif du
Commonwealth, héritage de l’Empire britannique qui regroupe encore
aujourd’hui 56 pays. Le prince William concentrerait ainsi son
action et celle de la Couronne quasi-exclusivement sur le
Royaume-Uni.
Enfin, le
futur roi voudrait des événements royaux, comme son
couronnement, à une échelle plus réduite et moins fastueuse que par
le passé. La priorité serait donnée à la famille Wales, composée de
William, Kate et leurs trois enfants.
Si la teneur exacte de ces réformes reste à confirmer, le prince
William a toutefois déjà exprimé sa vision d’une monarchie
modernisée. Lors d’un déplacement au Cap l’an dernier, il a déclaré
: « J’essaie de faire les choses différemment et je le fais pour
ma génération. Pour vous expliquer, je le fais avec peut-être un
« r » minuscule dans royal. »
Un programme ambitieux et sans précédent qui, s’il est mis en
œuvre, transformera radicalement la monarchie britannique telle que
nous la connaissons. Affaire à suivre dans les prochaines
années…
Pour se préparer à son rôle de futur monarque, le prince William
s’inspirerait beaucoup de sa défunte grand-mère, la
reine Elizabeth II. D’après l’historien Robert Lacey, auteur du
livre « Battle of Brothers », la souveraine aurait été un soutien
précieux pour son petit-fils après le divorce de ses parents en
1995.
Alors âgé de 13 ans et élève au collège d’Eton, le jeune William
traversait une période difficile. Inquiète pour lui, la reine l’a
alors convié à une série de déjeuners en tête-à-tête au château de
Windsor les weekends. Des moments privilégiés qui auraient
considérablement influencé l’homme et le futur roi qu’il est
devenu.
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